1 utions médiocres, mais « bien de chez nous », aux avantages que pourrait procurer une coopération sans réserve avec d’autres cant

2 es fins impérialistes, mais au contraire : pour l’ avantage et la survivance de chacune des communautés constituantes et pour qu’

3 s. Une disposition de ce genre présente le double avantage de rassurer le tiers parti quant à sa sécurité et de décourager ses p

4 hé commun, par exemple, elle perdrait de nombreux avantages , bancaires notamment, et son agriculture serait gravement menacée. L’

5 ns les conseils qui élaborent l’Europe future les avantages de la formule fédéraliste. Prétendre en conserver les bénéfices pour

6 le donc que les petits pays bénéficient de grands avantages culturels, et la Suisse est une grappe de pays minuscules… Mais les t

7 l’électricité étant donné, je m’interroge sur ses avantages et ses défauts par rapport au confort quotidien, sans prétendre conna

8 u terme d’indépendance celui d’autonomie, qui a l’ avantage de rappeler le gouvernement des cités par elles-mêmes, et aussi, par

9 vie individuelle. Les régions combinent ainsi les avantages du petit État (culturels, ethniques, économiques, civiques) qu’avaien

10 acés nos nations écrasant toute diversité, et les avantages des grandes dimensions procurés par cette fédération dont les États-n

11 sortir ces jours-ci ! Il ne faut pas donner l’ avantage au diable En consultant justement la traduction anglaise de ce liv

12 faut les deux, mais il ne faut pas donner tout l’ avantage aux moyens : ça serait donner l’avantage au diable. ap. Rougemont

13 r tout l’avantage aux moyens : ça serait donner l’ avantage au diable. ap. Rougemont Denis de, « [Entretien] La révolution de