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à titre d’argument massue contre ma thèse. Est-il
besoin
de rappeler que ce grand artiste s’est formé à l’école de Paris, mais
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u quo, répond d’une manière adéquate aux nouveaux
besoins
d’union apparus depuis 1945, et qui ont posé, précisément, la questio
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ît la mieux susceptible de répondre à la fois aux
besoins
nouveaux d’union, et aux besoins traditionnels d’autonomie de nos peu
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re à la fois aux besoins nouveaux d’union, et aux
besoins
traditionnels d’autonomie de nos peuples, besoins qui semblent contra
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besoins traditionnels d’autonomie de nos peuples,
besoins
qui semblent contradictoires, mais qui sont là, incontestablement. El
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à titre d’argument massue contre ma thèse. Est-il
besoin
de rappeler que ce grand artiste s’est formé à l’école de Paris, mais
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un avenir politique au sens large : et ce sont le
besoin
de puissance et le besoin de liberté. Le premier porte à vouloir des
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s large : et ce sont le besoin de puissance et le
besoin
de liberté. Le premier porte à vouloir des régimes unitaires, central
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a mesure exacte où elle rencontre et satisfait un
besoin
largement partagé de subir la puissance d’un autre, d’être commandé,
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e vision qui se trouve correspondre à la fois aux
besoins
réels d’une communauté en puissance, et à des solutions qui figurent
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de la recherche est très différent : dès que ses
besoins
dépassent les moyens dont disposent les individus et les régions, se
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venir ? Et de quels mécanismes l’Europe a-t-elle
besoin
pour atteindre ces buts, ou pour s’en rapprocher ? Buts. Autonomie
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’harmoniser la vitalité des nouveaux centres, les
besoins
généraux du continent, et les échanges toujours plus intenses à l’éch
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e vieille tradition, rénovée au xixe siècle, des
besoins
de l’économie moderne, de la nouvelle vision scientifique et des moye
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être une expression vague désignant simplement le
besoin
d’une « union plus étroite », et tend à prendre un sens précis et spé
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d’obstacles qu’on lui oppose, qui les invente au
besoin
: Tristan aurait pu garder Iseut aux cheveux d’or qu’il est allé conq
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e de la fusée spatiale, n’est pas l’histoire de «
besoins
» qui auraient existé avant elles, c’est plutôt l’histoire de nos rêv
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os gadgets — ne sont pas nées pour satisfaire des
besoins
matériels que personne n’éprouvait avant elles, mais c’est généraleme
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ent l’inverse qui s’est produit. Personne n’avait
besoin
d’autos quand il n’y en avait pas encore — à part quelques rêveurs un
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es fins, ni la mieux calculée pour répondre à des
besoins
pratiques, utilitaires : on le voit bien aujourd’hui, dans nos villes
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onfondre, et sans qu’aucun d’entre eux éprouve le
besoin
d’imposer aux voisins son mode de vie, sa langue, son credo ou son pa
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organisateurs du colloque, qui connaissaient les
besoins
de leur région, mais de tout un mouvement de pensée politique, déjà b
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à son tour formera des traditions civiques, et le
besoin
d’en changer. Il s’agit donc pour nous, ici et maintenant, d’éveiller
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vraies dimensions et leur urgence — et alors nul
besoin
d’insister sur la nécessité de faire l’Europe — à l’étude des réalité
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uestions réelles éveillant le sens critique et le
besoin
d’invention, tandis que l’autre, que j’ai sous les yeux, n’est qu’un
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u nationalisme et de l’État totalitaire, — par le
besoin
d’union au-delà des nations, partout ressenti et déclaré, et qui a do
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organisateurs du colloque, qui connaissaient les
besoins
de leur région, mais de tout un mouvement de pensée politique, déjà b
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es constitués à la mesure des possibilités et des
besoins
de l’ère scientifico-technique. Cet échec de la politique centralisat
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litique, tout le problème revient à concilier les
besoins
contraires, mais vitaux d’autonomie locale et de grands espaces commu
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à soi-même qu’on sait ce qu’on veut et qu’on n’a
besoin
de personne. Moins on est sûr de la durée de ses sentiments, plus on
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e d’amour qui veut l’obstacle et qui l’invente au
besoin
pour mieux s’exalter. La passion suppose toujours entre le sujet et l
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e New York, sont la démonstration éclatante de ce
besoin
qui existe d’une nouvelle communauté, d’un principe de communauté qui
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es de choses absolument hétéroclites, d’après les
besoins
qui se manifestaient et les possibilités d’y répondre : une Associati
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tes de choses. Toutes les fois que nous voyons un
besoin
européen, une possibilité d’y répondre, et un certain nombre de gens
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ne cependant pas de critiquer quand il en sent le
besoin
. C’est là-dessus que je devais d’abord l’interroger — dans le Metro B