1
’amour du réel. Mais l’attitude fédéraliste ne se
borne
pas à reconnaître d’une part la nécessité de l’union, d’autre part la
2
’amour du réel. Mais l’attitude fédéraliste ne se
borne
pas à reconnaître d’une part la nécessité de l’union, d’autre part la
3
par une frontière marquée sur le terrain par des
bornes
et sur les cartes par des pointillés méticuleux, mais au contraire pa
4
presque tous nos pays, l’enseignement civique se
borne
à décrire les institutions politiques prévues par la constitution. C’
5
ndépendance de moins en moins croyable, et qui se
borne
en fait à la liberté (souvent illusoire) de choisir les dépendances l
6
une frontière marquée sur le terrain à l’aide de
bornes
ou de réseaux de barbelés et sur les cartes en pointillés méticuleux,
7
e millénaires par les notions de terre sacrée, de
bornes
sacrées, d’attachement au sol, bref par les réalités et les valeurs d
8
bler ses souvenirs, trois ans plus tard, et il se
borne
à suggérer, dans une note, que si ces pages pouvaient faire naître,
9
one. On sait la suite, mais dans son livre, il se
borne
à écrire cette seule phrase qui est sans doute l’une des plus saugren