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xige à la fois l’une et l’autre, en dépit de leur
caractère
logiquement antinomique et pratiquement antagoniste. L’attitude fédér
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s soi-disant « nationales ». Et n’est-ce pas à ce
caractère
« immédiatement européen » que l’on reconnaît le plus vite leur commu
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éen » que l’on reconnaît le plus vite leur commun
caractère
de Suisses romands, si profondes qu’aient été leurs différences de do
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irconstances de notre temps. Ce fait détermine le
caractère
particulier de notre Institut, comme d’ailleurs des quelque vingt-cin
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s grands ensembles européens, peut-on déceler des
caractères
communs et spécifiquement suisses dans cette succession chronologique
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xige à la fois l’une et l’autre, en dépit de leur
caractère
logiquement antinomique et pratiquement antagoniste. L’attitude fédér
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voudraient l’admettre. Tels étant nos principaux
caractères
spécifiques, que devons-nous faire maintenant pour rester fidèles à n
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s soi-disant « nationales ». Et n’est-ce pas à ce
caractère
« immédiatement européen » que l’on reconnaît le plus vite leur commu
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éen » que l’on reconnaît le plus vite leur commun
caractère
de Suisses romands, si profondes qu’aient été leurs différences de do
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ire » là où nous disons « pluraliste » ; à lire «
caractère
unifiant » là où nous écrivons « trait distinctif », à déplorer que n
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ns politiques ; et c’est les arranger selon leurs
caractères
particuliers, qu’il s’agit à la fois de respecter, et d’articuler dan
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n côté : buts communs, rythmes de vie, vocations,
caractères
, tempéraments compatibles. Mais vous aurez beau mettre toutes les cha
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nationalité suisse possède au plus haut degré un
caractère
très international », et c’est ce type d’union pluraliste, antiunitai
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et télévision) dans la mesure où elle façonne les
caractères
et les esprits, ne fait pas des Européens. Quand elle fait quelque ch
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prendre pour empêcher l’exode quand il n’a pas le
caractère
d’échange mais qu’il sanctionne un manque d’organisation ou de struct
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t ni la pluralité ethnique et linguistique, ni le
caractère
d’universalité. Il se rêve et se veut fermé, complet, suffisant en lu
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croit-on vraiment que cela lui ferait perdre son
caractère
de cité suisse plus que ne le font sa population étrangère et les ins
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nstitue dans la dialectique des contraires. Et ce
caractère
va se transmettre à tous les groupes qu’il formera avec d’autres homm
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té. La passion dit : « Oui, j’aime une telle, son
caractère
et ses goûts seront peut-être incompatibles avec les miens mais c’est
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t pour des raisons : fortune, terres, agrément du
caractère
et du physique, et on restait marié pour des raisons : religieuses, s
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st là : les problèmes inéluctables que posent les
caractères
et les tempéraments. On pense toujours qu’on sera l’exception, qu’on
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parents. On a compris que l’essentiel ce sont les
caractères
, qui ne changent jamais (« on ne peut pas changer de place les raies
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une plus grande attention à la compatibilité des
caractères
, aux éléments durables et indispensables à la durée du mariage. At
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cidental, surestime la passion et sous-estime les
caractères
, les goûts et les antécédents. Un mariage où il n’y aurait que des «
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on. Quel est ce « quelque chose » sans lequel les
caractères
, les goûts, les aspirations communs ne réussiraient qu’un mariage de