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d’un des trois types de solutions que je viens de
caractériser
très brièvement. Mais rien ne nous autorise à juger que le fédéralism
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que, le goût de la nouveauté et du somptueux, qui
caractérisent
tant de princes et de grands marchands de l’époque. Il est trop clair
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ypes intermédiaires, entre ceux que l’on vient de
caractériser
: je les nommerai symboliquement celui du manager et celui du profess
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exité, par contraste avec le simplisme brutal qui
caractérise
l’esprit totalitaire. Je dis bien l’amour, et non pas le respect théo
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saurait trop insister sur ce double mouvement qui
caractérise
la pensée fédéraliste, sur cette interaction, cette dialectique, cett
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de l’incertitude ou insécurité intellectuelle qui
caractérise
la plupart des projets d’Europe fédérale, dès qu’on aborde le problèm