1 rrenmatt et d’un Max Frisch pour le théâtre, d’un chef d’orchestre comme Ernest Ansermet, d’un historien de l’art comme Wölf

2 e d’armes, où il était de mise de ne pas aimer ce chef . Un jour, à peine entré dans notre salle de cours, il nous posa cette

3 tance un troupeau d’une centaine de chamois. Leur chef en tête bien détaché du gros, ils se déplaçaient par à-coups, au pied

4 e colonne, cependant, elle aussi précédée par son chef veillant au rythme égal de la marche, poursuivait à travers le paysag

5 e glaive sont les armes du combat singulier entre chefs . L’arquebuse, les machines de siège, les lances et les cuirasses perm

6 sse a commencé par une alliance conclue entre les chefs de trois « communes » ou « coopératives forestières » (les Waldstätte

7 eront l’objet de « relances » périodiques par des chefs de gouvernements décidés à poursuivre coûte que coûte la politique d’

8 ier grand amiral était un Genevois, Lefort, et le chef de la flotte de guerre américaine, entre les deux guerres, était l’am

9 tat français ne sera pas si aisément ébranlé. Son chef le tient très bien en main, et quelques excités de la région ne l’imp

10 de tout temps constitué la force principale d’un chef , roi, dictateur ou État républicain. Or ce pouvoir paraît mieux assur