1 tout, et c’est plus grave, l’absence d’une vision claire et convaincante des solutions proprement politiques, qu’il faudra bie

2 stant libre et dispersé, voire anarchique. Il est clair que nos villes sont trop petites pour se payer chacune un laboratoire

3 s et de grands marchands de l’époque. Il est trop clair qu’à l’absence de cette passion créatrice et de ce sens du mécénat, n

4 tions systématiques, aux plans simples de lignes, clairs et satisfaisants pour la logique, mais par là même infidèles au réel,

5 se recoupent de cent manières différentes. Il est clair que des lois ou des institutions conçues dans un esprit unitaire, jac

6 esprit devant ses propres inventions ! Car il est clair que la machine a été inventée par les Européens pour les libérer du t

7 est la seconde tâche, indispensable, mais que la claire vision du But rend seule possible. On ne trace pas un chemin tant qu’

8 algré nous. Arguments traditionalistes. — Il est clair qu’une Europe « une et indivisible » serait une catastrophe pour la S

9 Mais personne ne la préconise, en réalité. Il est clair , en revanche, qu’une Europe fédérée, donc respectueuse de ses diversi

10 dition à toute idée de neutralité. Mon idéal très clair — mon utopie — est que la Suisse adhère un jour à une union européenn

11 ux à la fois, mais je sais que j’aime bien y voir clair pendant la nuit. I Comme la très grande majorité des hommes de n

12 ne sont pas encore prêtes à s’unir ». Or, il est clair — il devrait être clair — qu’en tant qu’États souverains les nations

13 es à s’unir ». Or, il est clair — il devrait être clair — qu’en tant qu’États souverains les nations ne seront jamais prêtes

14 onde et notre cœur. Là-haut le feu d’un ciel très clair baigne la crête des Brillantes. Ici l’ombre et le creux, la chênaie,

15 e créateur, ou révolution, procédant d’une vision claire et d’une volonté sincère de réalisation.) Résistances conditionnée