1 ure d’un peuple, qu’elle fut au temps de l’Europe classique puis romantique. Les sciences ont pris sa place, à cet égard. Or quel

2 r souveraineté et même leur indépendance, au sens classique de ces expressions ? Aucun de nos pays n’est en mesure, non plus, de

3 n, soit dans l’application. Toutefois, ce procédé classique serait trompeur dans le cas particulier, car il se trouve que le fédé

4 t fédératif et Confédération d’États (distinction classique , mais que les dictionnaires déjà cités et contemporains continuent d’

5 raités séparés ; ces attributs de la souveraineté classique sont reportés au niveau fédéral, et la fédération, de plus, a renoncé

6 re valoir les droits fondamentaux que la doctrine classique attribue aux « souverains » : celui de déclarer la guerre et celui de

7 ys d’Europe n’est donc vraiment souverain au sens classique  ; mais il y a plus : aucun n’est autonome et ne pourra plus l’être ta

8 lement l’auteur de l’Esprit de conquête, pamphlet classique contre l’esprit d’hégémonie et de centralisme national, mais c’est lu

9 Providence a privé d’absolument tous les facteurs classiques garantissant l’unité nationale : langue unique, religion dominante, d

10 stitution, mettaient en commun certains attributs classiques de la souveraineté, les affaires étrangères, la défense, afin de sauv

11 des siècles, et que nous ont inculquées tous les classiques de la philosophie politique. Catégories de pensée non seulement invét

12 franco-allemand », mais qui nous laisse une image classique des régimes patriciens du xviiie . L’Argovie, ou « pays de l’Aar », v

13 gie — que nous allons enfin retrouver le problème classique du fédéralisme : comment assurer la cohésion d’un ensemble assez vast

14 ique), seul pris en considération par les auteurs classiques , n’était en réalité qu’un cas particulier d’une conception beaucoup p

15 ente toutes les notes de la fédération absolument classique et pas du tout des confédérations. La confédération est une mesure d’

16 ait pu dire Victor Hugo. Je vois ici la situation classique qui définit une vocation. On court après un but habituel et quelconqu

17 ication des déséquilibres dans un couple — le cas classique de la femme qui n’a pas su « suivre » son mari ou l’inverse. Il y a e

18 s’entête et plus on se dépêche. À 20 ans, il est classique de se marier en claquant la porte. Mais la cause d’échec la plus fréq