1 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
1 ns encore, en Suisse romande, aux antipodes de ce climat d’excitation intellectuelle et artistique. Nos habitudes utilitaires,
2 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
2 les régions les plus favorisées par une mode, un climat , une production facile.) Chacun peut vendre ses produits partout, san
3 ées au xviiie et au xixe siècle. Les régions de climat salubre, ou amène, se voient à juste titre privilégiées. L’Europe noi
3 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
4 idée européenne semble avoir trouvé parmi nous un climat favorable et un terrain fertile. Rousseau, Benjamin Constant, Jean de
4 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
5 nture créatrice, ni qui entretiennent le mieux ce climat passionné de polémiques et d’engouements, cette turbulence intellectu
6 yle ni une école particulière, mais il suppose un climat de culture d’une densité probablement très supérieure à celle qu’on p
5 1968, Articles divers (1963-1969). L’Exode des cerveaux [débat] (1968)
7 , mais uniquement en développant des pôles et des climats intellectuels qui attirent. Ce n’est pas uniquement une question fina
8 ’emploi, ou pas uniquement. Il s’agit de créer un climat intellectuel. Je ne vais pas vous en donner la recette. Créer un clim
9 e ne vais pas vous en donner la recette. Créer un climat intellectuel, c’est aussi difficile à faire et à définir qu’une œuvre
10 uises pour qu’il y ait une vie intellectuelle, un climat attirant, et pas seulement pour des musiciens ou des artistes, mais a
11 dans la création de ces pôles d’attraction, de ce climat intellectuel. Il me semble que l’Université est mieux placée que n’im
12 fié dans votre sens, en disant que, pour vous, le climat , c’est « un financement + une organisation ». Je répète : le financem
13 sans ça. L’organisation aussi. Mais croire qu’un climat , c’est un financement + une organisation, ça c’est croire ce que croi