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forces en compétition, et loin de fuir devant la
complexité
du réel, il la respecte, il croit à ses vertus, il en épouse la loi,
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elle s’opèrent alors mille échanges d’une infinie
complexité
. Voilà ce que j’appelle une harmonie fédéraliste. Le totalitaire, lui
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forces en compétition, et loin de fuir devant la
complexité
du réel, il la respecte, il croit à ses vertus, il en épouse la loi,
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e laquelle s’opèrent mille échanges d’une infinie
complexité
. Voilà ce que j’appelle une harmonie fédéraliste. Le totalitaire, lui
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istes, arrangés comme ils viennent, ménageant les
complexités
et l’imprévu de l’existence ; régimes dont l’anarchie serait la limit
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elle s’opèrent alors mille échanges d’une infinie
complexité
. Le totalitaire, lui, trouve plus simple et plus efficace de broyer m
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principe. Le fédéralisme repose sur l’amour de la
complexité
, par contraste avec le simplisme brutal qui caractérise l’esprit tota
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éorique ou la tolérance complaisante. L’amour des
complexités
culturelles, psychologiques, et même économiques, telle est la santé
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t engrenés, il convient de leur montrer que cette
complexité
— cause de tant de lenteurs et d’excessives prudences — est la condit
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et de l’union. Sa solution peut apparaître d’une
complexité
sans espoir aux praticiens de la vie politique qui se contentent des
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es à New York dans un paysage urbain d’une grande
complexité
, où la Nature n’était plus représentée que par des pans de ciel abstr
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’est-à-dire le respect du réel et de ses infinies
complexités
enfin rendu possible par la technique moderne. Ce débat n’est pas d’a