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its par Jay, Hamilton et Madison pour défendre la
Constitution
fédérale américaine rédigée en 1787, composent l’énorme volume intitu
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e se réalisait enfin, mais hors d’Europe, dans la
Constitution
américaine. Nous montrerons aussi dans quelle mesure les préoccupatio
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n art de composer, quand il s’agit d’élaborer une
constitution
et des lois, et une méthode de pilotage quand il s’agit de gouverner
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renoncement à l’hégémonie conquise, a résulté la
Constitution
de 1848, base de notre État fédératif moderne. C’est pourquoi la Suis
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. Le droit à une patrie locale est garanti par la
Constitution
fédérale, et surveillé par la Cour fédérale de justice, dépositaire d
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nservent ou n’introduisent rien au contraire à la
Constitution
fédérale et à la Charte des droits de la personne. (Les libertés de c
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. La souveraineté des membres est garantie par la
Constitution
fédérale, nonobstant la mise en commun de plusieurs de leurs fonction
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me paraît tout à fait indiqué en la matière : La
Constitution
fédérale de la Suisse (1848) semble avoir résolu la quadrature du cer
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nt que leur souveraineté n’est pas limitée par la
Constitution
fédérale, et comme tels, ils exercent tous les droits qui ne sont pas
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té dans les limites fixées par l’article 3, leurs
constitutions
, la liberté et les droits du peuple… (etc.) Ratifiés par la majorité
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ou doctrinaire. Un fait demeure : il n’est pas de
constitution
plus fédéraliste que celle de la Suisse, et pourtant elle garantit la
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bsiste, elle se voit garantie et défendue par une
constitution
, par une armée, et par la volonté unanime des peuples et des États co
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ue clairement ce qu’il nous reste à faire : — une
Constitution
fédérale, afin que l’Europe recouvre, au temps des grands empires, l’
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entière, pour toutes les matières prévues par la
Constitution
fédérale. Plusieurs États conservent cependant, à l’intérieur et à l
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ste neutre en théorie, et fidèle à l’esprit de sa
Constitution
ainsi étendu à l’alliance ; mais elle peut être entraînée dans une gu
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e pouvoir fédéral garantit l’ordre intérieur, les
constitutions
des États membres, et toutes les libertés personnelles et publiques r
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bertés personnelles et publiques reconnues par la
Constitution
fédérale. d) Attributions des États membres D’une manière génér
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slatifs, exécutifs et judiciaires prévus par leur
constitution
, dans la mesure où ces droits et devoirs ne sont pas délégués à la fé
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rtu de dispositions spéciales introduites dans la
constitution
des États autrefois « indivisibles », certaines conditions de dévelop
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a fédération : législation fédérale, garantie des
constitutions
des États et des autonomies régionales, mesures propres à faire respe
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régionales, mesures propres à faire respecter la
Constitution
fédérale, révision de celle-ci, garantie des libertés, organisation e
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une Charte ou Statut de la personne, annexée à la
Constitution
; des cas de trahison ou de révolte concernant la fédération, et d’au
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raliste est au moins théoriquement adopté par les
constitutions
d’un nombre croissant d’États nouveaux, ou réorganisés de fond en com
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3 avril 1961, date à laquelle un amendement à la
Constitution
a autorisé les citoyens du District of Columbia à prendre part à l’él
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ives « européennes ». Ce serait contraire à notre
Constitution
. Ce serait même la fin de notre fédéralisme et de la démocratie direc
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lle que la CEE ne serait pas incompatible avec la
Constitution
actuelle. Si, dit-il, la Suisse se refuse à entrer sans réserve dans
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dise ! 13. Il s’agit de l’Acte additionnel aux
Constitutions
de l’Empire. 14. Die Schweizerische Nationalität. 15. Edgar Bonjou
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atholiques aux protestants. L’année suivante, une
constitution
fédérale fut rédigée, votée, et mise en vigueur en neuf mois, sans au
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souverains » et qui le demeurent aux termes de la
constitution
, mettaient en commun certains attributs classiques de la souveraineté
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écrire les institutions politiques prévues par la
constitution
. C’est à peine si l’on parle de leur fonctionnement. Mais surtout, on
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gnifie connaissance scolaire d’institutions et de
constitutions
dont on ignore le fonctionnement concret. Il faut comprendre et procl
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ur la Suisse. Nous avons pris une partie de notre
Constitution
, le bicaméralisme, importé des États-Unis. Ce qu’a dit M. Mach m’a pa
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atique ce qu’il y a de périmé en doctrine dans la
Constitution
de 1848. Voilà sans doute ce que les Suisses peuvent donner de meille
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etit pour être libre ? Ce n’est pas le vote d’une
constitution
, de type plus ou moins fédéral, qui peut résoudre une fois pour toute
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ue si vous avez de petites unités, données par la
constitution
, non seulement par les traditions, cela provoque le civisme en donnan