1 e l’on croit ? Pour répondre à cette question, il conviendrait d’examiner, après Léon Duguit, Preuss, Lapradelle, Chabod et tant d’a

2 le ne peut plus guère s’exercer individuellement. Convient -il de considérer comme un quatrième type, la solution qui consisterai

3 cantonaux, fédéraux, si diversement engrenés, il convient de leur montrer que cette complexité — cause de tant de lenteurs et d

4 onditionne la puissance créatrice de l’Europe. Il convient donc d’attribuer aux régions une totale autonomie en matière d’enseig

5 es proposent, mais c’est un plan d’union qui nous convienne et auquel nous puissions adhérer « sans réserve et de plein droit ».

6 rs, ou supérieurs à nos diversités nationales. Il convient d’écarter résolument la solution de facilité qui consisterait à préco

7 Gaulle, que les choses étant ce qu’elles sont, il convenait d’adapter les exigences de l’union aux intérêts nationaux, considérés

8 es hommes de quelques régions, ou d’une seule. Je conviendrai que le nombre des combinaisons auxquelles peut conduire cette méthode

9 um inexpertis 41, fameux titre d’Érasme, pourrait convenir ici. Mais alors, au-delà de la captatio, n’y a-t-il une secrète et pr

10 Car voici que le récit quittant le style noble et convenu , tourne au plus sobre reportage de scènes vécues durant les jours et

11 stoire, du moins telle que nous l’entendons ? Il convient de s’entendre sur le sens des termes d’utopie et de réalisme. L’utopi