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Et ce n’était qu’une préparation pour la « grande
course
» finale : 150 kilomètres par-dessus les Préalpes et les Alpes, en tr
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élèves de l’école, la perspective de la « grande
course
» était un sujet permanent d’irritation et de protestations : « Il no
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colonel de P. nous laissait faire de sa « Grande
course
» un mythe, avec tout ce que le mythe comporte d’effrayant et de cont
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blessure, et forçant finalement à l’abandon de la
course
, si l’on n’y a pas pris garde au premier signe, si l’on n’a pas prévu
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avait été reçu et surmonté qu’en vue de la grande
course
, du but lointain… Aujourd’hui, repassant ces souvenirs, je me laisse
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t l’âme en alerte constante se préparent pour une
course
de fond et, c’est ce qui définit, biologiquement et moralement, l’éta
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l sera donc impraticable dans quelques heures. La
course
est arrêtée. Bonsoir, Messieurs. » De l’échec Je vais éternuer,
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un break-down. Si la première étape de la grande
course
m’avait donné une recette de succès, au sens le moins vulgaire du ter