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ne, un crime de lèse-majesté. Personne n’ose donc
crier
trop fort, et c’est peut-être mieux ainsi. Mais notre peuple comprend
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s plus vastes que la portée de la voix d’un homme
criant
sur l’agora, mais il faut garder cet exemple dans l’esprit, si l’on v
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é au mètre près par les hasards de l’histoire, je
crierais
à la dictature totalitaire, c’est-à-dire que je crierais à l’assassin
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s à la dictature totalitaire, c’est-à-dire que je
crierais
à l’assassin, au gangster et au fou ! Voyez Hitler. Mais personne ne