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ttitude fédéraliste ne se borne pas à reconnaître
d’une part
la nécessité de l’union, d’autre part la légitimité des autonomies lo
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représentée pour l’instant par le Marché commun.
D’une part
, on affirme une souveraineté globale, qui ne laisserait jouer qu’à re
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ine purement économique, comme on disait naguère.
D’une part
, le social est inséparable de l’économique, d’autre part, l’économie
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xixe siècle des nationalismes. Il faudrait voir,
d’une part
, dans quelle mesure cette notion est compatible avec le droit, et d’a
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ttitude fédéraliste ne se borne pas à reconnaître
d’une part
la nécessité de l’union, d’autre part la légitimité des autonomies lo
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représentée pour l’instant par le Marché commun.
D’une part
, on affirme une souveraineté globale, qui ne laisserait pas jouer la
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diquement : défense contre l’influence germanique
d’une part
, défense contre « Paris » d’autre part. La défensive n’est pas une at
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à quels « Européens » l’auteur s’en prenait, qui
d’une part
refuseraient de reconnaître les apports judaïque, chrétien et arabe,
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sable : vis-à-vis de sa vocation propre et unique
d’une part
, et, d’autre part, vis-à-vis de la communauté au sein de laquelle sa
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e publique, au fur et à mesure de leur évolution,
d’une part
ce qu’il devient avantageux pour chacun de confier au pouvoir fédéral
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gressif des administrations et dictature du plan,
d’une part
; condition prolétarienne, travail humain à la chaîne, aliénation des
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plus immédiats à l’universel). Il s’agit donc : —
d’une part
, à l’intérieur, d’éviter que les indépendances personnelles et locale
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e déclare que l’union de ses peuples a pour fins,
d’une part
, d’assurer les libertés et les responsabilités civiques à l’intérieur
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nte au droit fondamental des communautés qui est,
d’une part
, d’être déchargées des tâches d’organisation (ou « mécaniques ») outr
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dération ? Ainsi posé, le problème est insoluble.
D’une part
nos grands États prennent prétexte de leur souveraineté théorique pou
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més de la Bombe. À ces motifs d’union, spirituels
d’une part
, historiques ou conjoncturels de l’autre, s’opposent encore des préju
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ter neutre, même en cas de conflit entre l’Europe
d’une part
, et l’URSS ou la Chine de l’autre, c’est d’abord opérer un coup d’Éta
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te, je viens de vous donner une réponse ambiguë :
d’une part
la technique a révélé et accentué des disparités intolérables, d’autr
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’État-nation à la fois par en haut et par en bas,
d’une part
vers des fédérations continentales et d’autre part vers un fédéralism