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’une juste ambition. Chaque nation serait mise au
défi
de donner le meilleur d’elle-même à sa manière et selon son génie. Ap
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erre du Sonderbund, et notamment devant le double
défi
de sauvegarder leurs libertés civiques et leurs coutumes nationales,
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nnerait la mesure, et le dernier nous mettrait au
défi
d’en tirer plus que la mesure. Devant nous, fermant une vallée qu’il
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ent pas songé d’elles-mêmes, sans l’exemple et le
défi
occidental ? Que signifie l’effort technique des Européens, et quelle
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ts de toute l’histoire — la technique nous met au
défi
de prendre conscience de nos options réelles devant la vie. Telle qu’
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its dans le domaine économique pour répondre au «
défi
américain » — cela n’a plus à être démontré28 — mais aussi pour répon
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s à être démontré28 — mais aussi pour répondre au
défi
du tiers-monde, c’est-à-dire de tous ces États-nations inconsidérémen
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éditorial du Monde, 30 novembre 1967. 28. Cf. Le
Défi
américain, par J.-J. Servan-Schreiber, Paris, 1967. 29. « Quand il s
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0. Cf. Remarques de M. Louis Armand, en annexe au
Défi
américain. 31. Cf. Janus, n° 15, septembre 1967, p. 84. 32. Ses tr
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6. Cf. Remarques de M. Louis Armand, en annexe au
Défi
américain. w. Rougemont Denis de, « De l’État-nation aux régions fé
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sque la passion sera forcément malheureuse. Le
défi
sentimental du passionné Vous avez démontré dans L’Amour et l’Occ
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, qu’on réussira où les autres ont raté. C’est le
défi
sentimental, le défi téméraire et dérisoire du passionné. Tout ça, ce
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es autres ont raté. C’est le défi sentimental, le
défi
téméraire et dérisoire du passionné. Tout ça, ce sont les défauts pos