1 lumineux virant très lentement à mesure que nous descendions , occupaient constamment nos regards. Notre marche en était comme allé

2 e par l’alourdissement des membres. Un vent froid descendait des Alpes, une pluie fine s’établit. Tout ne fut plus, pendant des he

3 , interventions presque insensibles d’une volonté descendue dans nos muscles, contre envie de se laisser tomber sur le talus. Par

4 elles ont dépassé le sommet de leur évolution, et descendent vers leur crépuscule. Dès la fin du siècle dernier, Ernest Renan pouv

5 aujourd’hui comme alors aux souffles du ciel de descendre Dans un cœur qui s’émeut et connaît leur présence…) ⁂ Nous avons d

6 ns la poésie cathare, et qui nous faisait ensuite descendre les différents cercles de la passion, connaîtra plusieurs rééditions