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pas un phénomène de l’ère atomique. Le nombre des
divorces
a quand même doublé depuis cinquante ans ? C’est que cette crise a de
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on Iseut. Elle est mariée, naturellement. Qu’elle
divorce
, il l’épouse ! Avec elle, ce sera la vraie vie, l’épanouissement de c
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n essor, qu’il s’agisse de nations en instance de
divorce
avec l’OTAN ou avec le Pacte de Varsovie, ou de nations au sens ancie
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is un problème d’avenir. C’est une conséquence du
divorce
plus fréquent mais aussi du progrès médical. Ce qu’on nomme « l’espér
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es « chances » arithmétiques et psychologiques de
divorce
, donc de remariage. Il y a la facilité de plus en plus grande offerte
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t divorcer : le nombre des foyers détruits par le
divorce
équivaut en 1968 au nombre des foyers détruits il y a cinquante ans p
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emier mariage, on voulait défier les parents). Le
divorce
, quoi qu’on en dise, est toujours ressenti comme un échec. Mais autan
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iser tout ce qui touche à l’amour, au mariage, au
divorce
. À la surestimation de la passion, issue du mythe de Tristan, et de t
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ns de son mariage. De même et plus encore pour le
divorce
: si l’on veut en tirer une leçon, il est essentiel de ne pas le refo
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riage sera résolue en principe et la majorité des
divorces
évités. Mais l’emprise du mythe est tellement forte que notre vocabul