1 re la peste et le choléra. Un homme qui boit de l’ eau et qui se lave n’est pas à mi-chemin entre un homme qui meurt de soif

2 re la peste et le choléra. Un homme qui boit de l’ eau et qui se lave, n’est pas à mi-chemin entre un homme qui meurt de soi

3 présente la santé civique. Un homme qui boit de l’ eau et qui se lave n’est pas à mi-chemin entre celui qui meurt de soif et

4 blanche à toit rouge, dans un jardin au bord de l’ eau , marquait la fin de la première étape. Nous nous assîmes devant une c

5 e particulier qu’on ne sait s’il est vu de sous l’ eau ou d’un nuage : ce seraient à peu près les mêmes rapports de lumières

6 des aliments synthétiques, tirés de l’air et de l’ eau , et qu’elle réussisse à nourrir des dizaines de milliards d’humains,

7 pauvre en matières premières — il n’a guère que l’ eau des glaciers pour en tirer de l’énergie — est l’un des plus industria

8 , puisque cet ancêtre éponyme de tous les cours d’ eau sinueux s’incurvait près d’Éphèse, vers Priène et Milet, où il trouva

9 mêmes fleuves, autres et toujours autres sont les eaux qui s’écoulent, et les âmes à partir des liquides s’en vont en vapeur

10 en vapeurs… La mort pour les âmes est de devenir eau , pour l’eau de devenir terre. De la terre naît l’eau et de l’eau naît

11 La mort pour les âmes est de devenir eau, pour l’ eau de devenir terre. De la terre naît l’eau et de l’eau naît l’âme… Nous

12 , pour l’eau de devenir terre. De la terre naît l’ eau et de l’eau naît l’âme… Nous entrons et nous n’entrons pas, nous somm

13 de devenir terre. De la terre naît l’eau et de l’ eau naît l’âme… Nous entrons et nous n’entrons pas, nous sommes et nous n

14 éléments : le feu solaire qui aspire en vapeur l’ eau des fleuves jaillis des blessures de la terre, puis l’apaisante pluie

15 entrelacs d’affluents et de lignes de partage des eaux  ; ni plus de ports. L’Asie, l’Afrique, les Amériques, sont fendues, b

16 viaux s’originent au massif du Gothard, château d’ eau de l’Europe. Par eux la terre des Suisses est liée sans relâche à l’o

17 la colline de la Habsbourg, où confluent dans ses eaux la Limmat et la Reuss, tout près de son terme rhénan. L’Aar n’est pas

18 lac de Zurich, tandis que la Reuss lui amène les eaux des Quatre-Cantons, de Sarnen, de Zoug et d’Aegeri. — Sempach, Baldeg

19 sli résiste, jusqu’au Jura, où l’Ajoie, comme ses eaux , tend plutôt vers le monde rhodanien, et du Pays de Vaud à l’Argovie,

20 ne de quatre grands systèmes de ramifications des eaux , des routes, autant de voies ouvertes à l’imagination vers les plaine

21 -celte romanisée qui porte le nom même du cours d’ eau en soi, fait du redoublement de la première — insistance sur l’origin

22 ux-mètres — cherche la voie qu’il va tracer sur l’ eau . Nous venons de quitter Poros, non loin des portes de Trézène. En Grè

23 leur pied, dans l’obscure fraîcheur, voici « les eaux saintes et sobres » de la fontaine Castalie. Une façade immense et tr

24 e ; elle débouche à gauche dans une vaste pièce d’ eau rectangulaire. (Au-delà, un escalier monte vers la gorge noire.) Vers

25 enfonce dans le flanc du rocher. Pieds nus dans l’ eau lustrale et remontant le flot, avec piété, malgré l’angoisse grandiss

26 naissent et croissent sont de la terre et de l’ eau . Car nous sommes tous nés de terre et d’eau. Et l’eau dégoutte

27 l’eau. Car nous sommes tous nés de terre et d’ eau . Et l’eau dégoutte dans certaines cavernes…46 ⁂ Plus tard, nous a

28 nous sommes tous nés de terre et d’eau. Et l’ eau dégoutte dans certaines cavernes…46 ⁂ Plus tard, nous avons essayé

29 libre entre les chênes denses, le grand bassin d’ eau verte et les parois monumentales. Cet espace est pourtant ce que l’on

30 erre, du sol profond et de la caverne où suinte l’ eau sacrée du sanctuaire maternel, selon la loi de l’aveuglant Désir, il

31 se désaltérer au grand bassin. Le prêtre a béni l’ eau païenne. Elles sont parties. Noté sur une des pages de garde de mon

32 des pages de garde de mon guide. Paix du bassin, eau verte et noire, le silence et l’ombre dorée devant l’immense paroi nu

33 devant l’immense paroi nue. Splendeur archaïque, eaux , rochers, gorge, dragon, dieux, brûlure et fraîcheur. ⁂ Nous errons m

34 brisée ; il s’agite et veut se lever, j’arrose d’ eau fraîche ses lèvres desséchées et sa langue durcie ; saisissant une po

35 seau que l’on porte derrière moi, et je presse l’ eau de cette éponge dans l’ouverture informe qui remplace sa bouche. Cet