1 os vies cantonales. Ici je rejoins le propos de l’ entreprise très opportune qui nous réunit. Deux erreurs de méthode menacent tout

2 d’elle. Ni les menaces arabes puis mongoles, ni l’ entreprise des croisades, ni les Turcs devant Vienne à deux reprises, ni les Sov

3 e l’histoire, la cause est entendue. Et quant aux entreprises impérialistes des Européens — les colonies —, elles sont restées le f

4 pouvant d’ailleurs relever de l’État fédéral ou d’ entreprises mixtes ou même privées. Les chemins de fer sont fédéraux en Suisse, p

5 s au succès, et aux leçons que devait illustrer l’ entreprise . Au départ, à cinq heures du matin, dans la cour froide de la caserne

6 antité exacte d’énergie nécessaire au succès de l’ entreprise . L’appel d’un but lointain dégage ainsi des forces ordinairement inso

7 pour nous, quand nous aurons aidé au succès de l’ entreprise . Si, au pire, certaines de nos villes et leur hinterland en venaient

8 qu’il lui reviendrait de dire le sens de toute l’ entreprise , d’inspirer et d’harmoniser le vocabulaire des rapports et résolution

9 l. Or s’il est vrai que l’union de l’Europe est l’ entreprise capitale de ce siècle et s’il est vraisemblable que cette union sera

10 à classer les objections les plus fréquentes à l’ entreprise qui fait l’objet de la présente publication. Je note d’abord que le t

11 vités humaines, aux dimensions variées des tâches entreprises et des cadres sociaux qui leur offrent appui. Qu’on me permette un ex