1 n 1980 ? Tout d’abord, par un sentiment de grand espace ouvert. Euphorie pour les uns — les meilleurs ; nostalgie ou sentimen

2 dérée se présente, en conséquence, comme un grand espace composé d’une vingtaine d’États membres, et de quelques États associé

3 es intérieurs résultant de l’ouverture d’un grand espace libre et de la mise en commun des ressources de base ; la possibilité

4 n but, devint une sorte de durée suspendue dans l’ espace obscur, et qui n’était plus mesurée que par l’alourdissement des memb

5 s tactiles rassurant le nageur aventureux, dans l’ espace brillant des hautes pentes. Monde vide où pourtant tout signifie, pro

6 Bruxelles : L’activité économique suscite dans l’ espace des formes de polarisation qui naissent de relations d’interdépendanc

7 t avec le Rhin, l’Aar draine tous nos lacs dans l’ espace intérieur, mais aussi, dans le temps, tous les moments les plus typiq

8 euves et la Suisse pour les faire déboucher sur l’ espace et le temps du continent de notre destin. L’Europe est partout dans l

9 comme l’approche d’un vertige, mais au bord de l’ espace intérieur. Très loin maintenant, beaucoup plus bas, sur la mare scint

10 quelques photos. Mais il y a peu de recul, peu d’ espace libre entre les chênes denses, le grand bassin d’eau verte et les par

11 assin d’eau verte et les parois monumentales. Cet espace est pourtant ce que l’on voudrait « prendre », mais aucun objectif ne

12 pour tenter de surprendre l’éveil du mythe dans l’ espace du rêve, et pour entendre ce qu’on voit ici. Épiant le lent progrès d

13 rité auxquelles ne peuvent répondre que de grands espaces économiques constitués à la mesure des possibilités et des besoins de

14 ires, mais vitaux d’autonomie locale et de grands espaces communs, de participation efficace à la vie d’un groupe concret et d’

15 e 5000 à 25 000 habitants, dotées non seulement d’ espaces verts, mais de rues réservées aux seuls piétons et d’une place rempli