1 .m. Néologisme. Système, doctrine du gouvernement fédératif . — « Le fédéralisme était une des formes politiques les plus communes

2 tique. La plupart nous renvoient de fédéralisme à fédératif et à fédération, voire à confédération indifféremment, sans qu’aucun

3 .m. Néologisme. Système, doctrine du gouvernement fédératif . « Le fédéralisme était une des formes politiques les plus communes e

4 , c’est l’œuvre posthume de Proudhon, Du Principe fédératif , qui, en 1863 (l’année même où Littré publie l’article que je viens d

5 : Le Fur publie en 1896 son ouvrage intitulé État fédératif et Confédération d’États (distinction classique, mais que les diction

6 sulté la Constitution de 1848, base de notre État fédératif moderne. C’est pourquoi la Suisse ne verra jamais sans méfiance certa

7 t dans l’idée qu’on ne peut pas atteindre une fin fédérative par des moyens impérialistes. Ceux-ci ne peuvent conduire qu’à l’unif

8 vaste. Ainsi posé, le problème d’une organisation fédérative de l’Europe se ramène à la recherche d’un optimum pratique entre les

9 en écrivant son grand livre posthume, Du Principe fédératif  ; mais il est bien certain qu’un de ses contemporains, J. C. Bluntsch

10 le dernier grand ouvrage de Proudhon, Du Principe fédératif , où l’on pouvait lire cette phrase devenue célèbre : « Le xxe siècle

11 ige en État unitaire ; en Suisse, c’est le régime fédératif lui-même qui se voit invoqué (non sans paradoxe d’ailleurs), pour ref

12 in. Néologisme. Système, doctrine du gouvernement fédératif . » Cette définition est assurément moins éclairante que les deux cita

13 État Dans une page essentielle de son Principe fédératif , où Proudhon estime qu’il « résume toute la science constitutionnelle

14 qu’à la France… 49. P.-J. Proudhon, Du principe fédératif , Paris, 1863, p. 82. 50. Louis Armand propose le terme de « régions