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dées ou sa foi, mais aussi de se dégager de ses «
fatalités
» natives… N’est-ce point là ce que l’homme européen, depuis des sièc
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u mariage — à la volonté — et à la passion — à la
fatalité
. On aime croire à une « fatalité » — l’alibi de la culpabilité — mais
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a passion — à la fatalité. On aime croire à une «
fatalité
» — l’alibi de la culpabilité — mais de combien de complaisances secr
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ombien de complaisances secrètes se compose une «
fatalité
» ! En résumé, la grande menace du mariage, c’est la passion. Que le
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t pas moins elle aussi une “importation”, non une
fatalité
. D’où vient-elle ? Qui l’a introduite en France ? Comment l’affronter
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ême au jour le jour ? Non, la passion implique la
fatalité
. La passion dit : « Oui, j’aime une telle, son caractère et ses goûts
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ra ce qu’il arrivera, ce n’est pas ma faute. » La
fatalité
, c’est l’alibi. Et il est nécessaire d’en avoir un, de pouvoir accuse