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eux à l’en croire, mais en fait dans le même sens
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qui est celui d’une Europe autonome rendue forte par son union, de Ga
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? On ne sait. Et cela dépendra de la prédominance
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d’un des trois types de solutions que je viens de caractériser très b
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tait qu’une préparation pour la « grande course »
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: 150 kilomètres par-dessus les Préalpes et les Alpes, en trente-troi
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ue : le moteur (auto, char, avion). Mais le point
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de la Deuxième Guerre mondiale, qui fut une guerre motorisée, est pos
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rgument du type Pyrrhus et Cinéas sur l’inutilité
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ou la finale gratuité de toute action humaine. Nous avons aussi parlé
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pe Pyrrhus et Cinéas sur l’inutilité finale ou la
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gratuité de toute action humaine. Nous avons aussi parlé de l’Europe,
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’un discours même de pure circonstance. Sa phrase
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au congrès de la culture (Lausanne, 1949) fait le lendemain l’affiche
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bien plutôt que nous atteignons le stade de crise
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d’une forme d’association qui a dominé et animé l’Europe du xixe siè
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leurs l’État, ou la nation, c’est l’aboutissement
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, logique, normal et inévitable du Progrès. Pour dissiper cette illusi
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Européens ne pourrait être présenté à la séance
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, parce qu’il contenait cette petite phrase : « Nous voulons une défen
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cutée et qui ne figurait pas dans les résolutions
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. Au cours de l’explication orageuse qui s’ensuivit, Sandys et Churchi
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sition entre l’attitude initiale d’Un Souvenir et
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des cahiers de Heiden. La « modestie du but » auquel Dunant veut se l
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te profond s’est éveillé en lui quant à la nature
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des relations entre la Croix-Rouge et la guerre. Vingt ans plus tard,
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c’était sérieux, que nous partions pour la marche
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de 140 km, nous n’avons ressenti aucune fatigue pendant les 20 premie