1 itique, comme le furent la Sérénissime, les états généraux de Hollande, l’Angleterre de la première Élisabeth, la France de Loui

2 er les coordonnées, et d’exposer ensuite le thème général de nos travaux pendant le semestre qui s’ouvre. Permettez-moi donc, a

3 sacrer quelques moments à cette introduction plus générale . S’il paraît opportun d’entreprendre aujourd’hui, ou plutôt de poursu

4 Afrique noire et dans le monde arabe. La tendance générale qui se dessine dans les années 1945 à 1950 va donc aux grandes unités

5 Au contraire, c’est à ce niveau que la discussion générale du problème dans la presse, les partis, les parlements, les congrès e

6 et grosso modo, synonymes. Cet état de confusion générale et d’aimable anarchie sémantique, traduit non seulement l’ignorance c

7 t au moins, sont de nature assez diverse. Raisons générales , d’abord. La solution fédéraliste paraît la mieux susceptible de répo

8 s’agirait de plier les réalités, mais une méthode générale d’aménagement des choses humaines, méthode d’allure pragmatique qui n

9 bscurité ! » ⁂ Ces quelques propos d’introduction générale ne me laissent pas beaucoup de temps pour introduire le sujet particu

10 uisses », mais également auteur de la célèbre Vue générale du genre humain, entre au service des empereurs autrichiens puis de l

11 nsion entre ces deux pôles : le particulier et le général  ; entre ces deux responsabilités : sa vocation et la cité ; entre ces

12 veau des réalités de leur époque. Ni les paniques générales , ni les délires de conquête n’ont jamais rien construit en Europe. Se

13 s buts visés, qui sont l’établissement de l’union générale et le respect des droits particuliers. Car cela ne conduirait en prat

14 e l’application à la chose publique d’une méthode générale de travail et de création, qui rend compte du dynamisme particulier d

15 b) de manifester à l’échelle mondiale la vocation générale des Européens, c’est-à-dire de donner une Voix à l’ensemble historiqu

16 ination dans la période de 1975-1980. ⁂ V. Vue générale d’une Europe fédérée Buts Le préambule de l’Acte constituant

17 opolite n’est pas payée au prix d’un déracinement général  ; ces ouvertures plus vastes à l’esprit d’aventure, qui sera toujours

18 tats, les entraînant dans une guerre ou une ruine générales  : ils participent tous également au droit de déterminer leur destin,

19 capacités, d’autre part de manifester la vocation générale des Européens à l’échelle mondiale : droit à l’Union. L’Europe fédéré

20 articles ont résolu le problème à la satisfaction générale depuis cent-quinze ans. On peut les qualifier soit d’habile compromis

21 ser la vitalité des nouveaux centres, les besoins généraux du continent, et les échanges toujours plus intenses à l’échelle mond

22 s, concernent l’ensemble européen et ses intérêts généraux . (Exemples : création d’Instituts européens dans le tiers-monde. Form

23 ) Attributions des États membres D’une manière générale , les États exercent tous les droits et devoirs législatifs, exécutifs

24 « corps germanique », ou Saint-Empire, des états généraux de Hollande, et de la « Ligue helvétique ». L’Europe unie qu’il appel

25 ard, le Schaffhousois Jean de Müller, dans sa Vue générale de l’histoire du genre humain (1797) annonce comme Rousseau que « tou

26 de Montreux que germe l’idée de réunir des états généraux de l’Europe sous la présidence de Churchill, — dont le discours appel

27 ar la magie ou les rites religieux. D’une manière générale , et plus près de nous, les grandes inventions qui ont modifié nos vie

28 reux de la Terre. À la question : « D’une manière générale , diriez-vous que vous êtes très heureux, — plutôt heureux, — pas très

29 sauf lui : il a compris. — Sur quoi, un intendant général des écoles de l’État de New York fait observer que Madariaga « is run

30 ation une région plus ou moins autonome. L’effort général en vue de l’union et votre tentative régionaliste, qu’on soupçonnera

31 les armées étrangères, il y eut des centaines de généraux qui avaient un peu de cervelle, quelquefois ; et il y avait même des

32 ui se recouvrent. Avant de passer à la discussion générale , je voudrais poser une dernière question à M. de Rougemont. Vous avez

33 t enseigner dans nos écoles un minimum d’histoire générale de l’humanité et des formes politiques, assez pour rappeler d’où vien

34 il faut bien le reconnaître, dans l’indifférence générale , c’est l’opinion prudente, rassurante, et par là même inefficace, des

35 « De l’Aar à l’Europe », L’Aar, Genève, Éditions générales , 1969, p. 93-97.

36 cela n’est pas contradictoire. Un phénomène très général de convergence inspire les mouvements d’union continentale qui créent

37 nt, mais en sens inverse, un phénomène tout aussi général d’affirmation des diversités, des autonomies et des volontés d’indépe

38 d ensemble, en association. 4° Enfin, le problème général de l’œcuménisme n’est-il pas le même en sa forme que ceux que nous ve

39 t l’économie des moyens — sont en interdépendance générale . Prenons l’exemple de l’habitat : le gigantisme des villes, l’entasse

40 le moyen de leur composition. En tant que méthode générale d’aménagement des relations humaines, le fédéralisme tel que j’ai ten

41 n vote, de temps en temps, sur de grandes options générales , ou sur un homme ou sur un député ; cela n’est pas réellement l’activ

42 rité pour la construction des autoroutes. Le plan général est fait à Berne, mais chaque tracé doit être discuté avec les canton

43 ntre, d’un coup de sabre au travers du visage. Un général a eu l’épaule fracassée par un boulet qui reste enclavé dans les musc

44 utorité centrale) « à un simple rôle d’initiative générale , de garantie mutuelle et de surveillance ». Et il estime puéril de re

45 prépare un grand ouvrage qui s’appellera Théorie générale du fédéralisme, où je constate que le mot fédéralisme est toujours ma

46 iellement de nature religieuse. Avec la débandade générale de l’idée et de la chose religion, comment cette vue-là se tient-elle