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ar des traditions communes à tous nos peuples, la
grecque
, la romaine, la chrétienne, bien antérieures aux découpages en couleu
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Germains, Slaves et Anglo-Saxons, Scandinaves et
Grecs
, se verraient soumis aux mêmes lois et coutumes, qui ne pourrait sati
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la steppe monotone, des lacs de l’Écosse aux îles
grecques
, de la Finlande à la Sicile, tout s’ouvre aux ambitions ou aux rêves
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ns la théologie chrétienne et dans la philosophie
grecque
, et peut se réclamer du thomisme puis du calvinisme, plus tard du soc
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lleurs étrangers en Suisse : Italiens, Espagnols,
Grecs
et Turcs. (Cela ferait 7 millions en France, 8 en Allemagne.) Mais ce
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se passe bien plus vite de nos jours qu’à l’aube
grecque
de notre histoire. Je ne cite pas la Grèce par hasard. Car je tiens l
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re ère, l’apparition de la polis, dans la société
grecque
archaïque. Et l’on sait que la polis devint en moins d’un siècle l’un
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se passe bien plus vite de nos jours qu’à l’aube
grecque
de notre Histoire. Je ne cite pas la Grèce par hasard. Car je tiens l
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tre ère l’apparition de la polis, dans la société
grecque
archaïque. Et l’on sait que la polis devint en moins d’un siècle l’un
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tures encadrées, fleurs séchées, amulettes, croix
grecques
, images de saints aux belles couleurs d’émail, serties de perles. Sou
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’Un sans distinction. Mais l’Occident, dès l’aube
grecque
, cherche à maintenir les deux termes non pas en équilibre neutre, mai
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t de docteurs se mettent d’accord pour définir en
grec
la nature à la fois triple et une du Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit
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e au Moyen Âge. Toute vie civique, depuis la cité
grecque
, est communale d’abord, municipale. C’est au niveau de la vie civique