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d, « Un pour tous, tous pour un », c’est moins un
idéal
qu’une vitale obligation de solidarité pratique. Quand un Suisse entr
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renant le mot dans son sens littéral. Ces limites
idéales
, bien entendu, ne furent jamais atteintes dans l’histoire de l’Europe
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e jouent à l’échelle du continent. Ces conditions
idéales
se trouvent réunies par la Suisse, d’ailleurs gardienne traditionnell
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lus conscient. Le mariage, en formant un obstacle
idéal
à l’amour (avec un autre naturellement), favorise cet amour-passion q
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choses. Périodiquement un nouveau type de femme «
idéale
» est proposé à l’admiration des foules, disqualifiant automatiquemen
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iné à assurer un jour la paix en Europe. « Si cet
idéal
de l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la nationalité suis
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projet européen. Mais tout cela, c’est la Suisse
idéale
, réputée « microcosme de l’Europe », et ce sont quelques Suisses entr
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ce sans condition à toute idée de neutralité. Mon
idéal
très clair — mon utopie — est que la Suisse adhère un jour à une unio
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, c’est aussi l’ère de la rapide dégradation de l’
idéal
fédéraliste qui avait animé la Résistance et la période des congrès.
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ilitants européistes, des ministres invoquant des
idéaux
abstraits pour obtenir des taux préférentiels, des philanthropes, man
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sé, et conditions nécessaires à son exercice ; e)
Idéaux
directeurs (religieux, humanistes, sociaux, scientifiques) de l’human
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i attaquent notre culture démocratique au nom des
idéaux
qu’elle seule leur enseigna. 21. Cf. Enquête sur l’état de l’instr
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ons pas dans le travers américain. Rapatrions nos
idéaux
. x. Rougemont Denis de, « [Interventions] L’exode des cerveaux »,
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totalitaires du xxe siècle. La confiscation de l’
idéal
national par l’appareil étatique, qui est l’œuvre de Napoléon, la nat
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ons de continuer à se rattacher politiquement à l’
idéal
fédéraliste — s’ils y tiennent vraiment — et de maintenir leur associ
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’en doute, ou alors une certaine beauté qui est l’
idéal
standard de sa génération. Sa passion n’est que la projection sur l’a
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passion n’est que la projection sur l’autre d’un
idéal
qui n’existe pas — et l’on s’en aperçoit très vite — alors que le vra