1 a France en une fédération de petits États. « Aux jacobins , on agita gravement la question du fédéralisme, et on souleva mille f

2 rsité, et l’unification totalitaire, centraliste, jacobine , qui est réduction forcée à l’uniforme, — dans tous les sens du mot.

3 inégales par l’étendue. Cette solution unitaire, jacobine ou napoléonienne, n’est en fait et comme telle défendue par personne,

4 augure la révolte fédéraliste contre l’orthodoxie jacobine et l’étatisme triomphant. En Prusse, c’est Constantin Franz, conserva

5 donc, entre le fédéralisme considéré par l’esprit jacobin comme trahison de l’unité nationale sacro-sainte, le fédéralisme cons

6 où la chose était niée par un puissant parti, les jacobins , tandis qu’elle se réalisait enfin, mais hors d’Europe, dans la Const

7 s trouvons le règne de Louis XIV, la doctrine des jacobins , le national-socialisme, le marxisme-léninisme, le stalinisme et les

8 rsité, et l’unification totalitaire, centraliste, jacobine , qui est réduction forcée à l’uniforme, — dans tous les sens du mot.

9 des institutions conçues dans un esprit unitaire, jacobin , ou totalitaire, brimeraient nécessairement un ou plusieurs de ces gr

10 ationales et la fédération Entre un unitarisme jacobin opprimant les autonomies, et une nouvelle Sainte-Alliance, interdisan

11 circulation internationale des idées, malgré les jacobins et le Premier Empire. Benjamin Constant n’est pas seulement l’auteur

12 empare au nom du peuple, comme ce fut le cas des jacobins et des « démocraties » plébiscitaires et totalitaires du xxe siècle.

13 e : celui de la République une et indivisible des jacobins , de l’Empire napoléonien qui la continue, et des totalitaires du xxe

14 x possible, n’est pas sérieux », pensent tous les jacobins , et les sous-offs dont le saint patron fut « le Petit Caporal ».)