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style doté du nom de sa terre natale. Il n’y eut
jamais
de peinture suisse, au sens où l’on a pu parler d’une peinture véniti
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raire me paraît probable.) Mais cet apport ne fut
jamais
typique et spécifique d’une unité bien évidente, à la fois culturelle
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-duché de Weimar. C’est que l’ensemble suisse n’a
jamais
été défini par autre chose que par un système d’alliances, embrassant
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l’Histoire. La culture européenne n’est pas, n’a
jamais
été et ne sera jamais une addition de « cultures nationales ». Elle e
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e européenne n’est pas, n’a jamais été et ne sera
jamais
une addition de « cultures nationales ». Elle est l’œuvre de tous les
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dans nos cantons, n’est pas liée à l’État et n’a
jamais
été un moyen de puissance de l’État. 2° la culture vit chez nous dans
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compartiments naturels ou historiques, qui n’ont
jamais
été unifiés, uniformisés par un pouvoir central, comme ce fut le cas
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l’Histoire. La culture européenne n’est pas, n’a
jamais
été et ne sera jamais une addition de « cultures nationales ». Elle e
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e européenne n’est pas, n’a jamais été et ne sera
jamais
une addition de « cultures nationales ». Elle est l’œuvre de tous les
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dans nos cantons, n’est pas liée à l’État et n’a
jamais
été un moyen de puissance de l’État ; 2° la culture vit chez nous dan
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compartiments naturels ou historiques, qui n’ont
jamais
été unifiés, uniformisés par un pouvoir central, comme ce fut le cas
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du mécénat, nul comité de coordination ne pourra
jamais
remédier. Les comités ne peuvent faire, au mieux, que des choses rais
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pas philosophique mais « géographique ». N’ayant
jamais
connu d’« Européens » à ce point illettrés et fanatiques, j’attendais
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ral. Ces limites idéales, bien entendu, ne furent
jamais
atteintes dans l’histoire de l’Europe. Mais en chemin vers la premièr
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lisme. Ni l’une ni l’autre des deux tendances n’a
jamais
été isolée à l’état pur et portée dans la réalité à son comble ou à s
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ui se noie. Et, de même, le fédéralisme ne naîtra
jamais
d’un habile dosage d’anarchie et de dictature, de particularisme born
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ératif moderne. C’est pourquoi la Suisse ne verra
jamais
sans méfiance certains « grands » s’arroger l’initiative d’une fédéra
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ifficile d’espérer que les gouvernements puissent
jamais
réaliser une union viable. Leurs dirigeants ne sont pas qualifiés pou
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iques générales, ni les délires de conquête n’ont
jamais
rien construit en Europe. Seules, les prises de conscience dramatique
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, y a-t-il une chance quelconque qu’on l’obtienne
jamais
, donc qu’on arrive jamais à une fédération ? Ainsi posé, le problème
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conque qu’on l’obtienne jamais, donc qu’on arrive
jamais
à une fédération ? Ainsi posé, le problème est insoluble. D’une part
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ents, ménage des possibilités plus favorables que
jamais
à une action fédéraliste. Mais il faut, pour les réaliser, un élément
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les traditions valables du tiers-monde que ne fut
jamais
notre colonialisme ; nécessité, à cet égard, d’une politique commune
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la passion ? le couple ? (25 octobre 1963)g h
Jamais
on ne s’est autant marié en France (90 % des hommes et 91,5 % des fem
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France (90 % des hommes et 91,5 % des femmes) et
jamais
on n’a autant divorcé (10 % des couples) : le mariage se porte donc b
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rez beau mettre toutes les chances de votre côté,
jamais
vous ne pourrez prévoir votre future évolution, et encore moins celle
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s vieilles coutumes ! Temps perdu ! Ça ne se fera
jamais
! » Je me souviens d’un débat devant le micro en février 1953, au cou
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notre arrivée tardive au Conseil de l’Europe n’a
jamais
été « justifiée », — comme disaient mes instituteurs. Qu’en est-il de
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jeu des puissances militaires. La neutralité n’a
jamais
été qu’un moyen au service de notre indépendance ; « elle ne fait pas
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’être suisses, ils ne se rencontreront sans doute
jamais
et n’entendront parler l’un de l’autre qu’à l’occasion de leurs évent
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es sans lesquelles une solide fédération n’aurait
jamais
pu s’agencer et n’aurait pas duré longtemps ne sont pas de celles qui
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dant que la courtoisie dont il ne se départissait
jamais
accentuait, par contraste avec le ton bourru qu’on tient pour énergiq
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sé, comme un paysage qu’on reconnaît sans l’avoir
jamais
vu nulle part, mais qui ressemble absolument. L’informel a rejoint le
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e tout le monde croit connaître même sans y avoir
jamais
été, car tout le monde sait qu’il est beau mais sérieux, très cossu m
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et de la patrie d’un Guillaume Tell qui n’exista
jamais
que dans le mythe à une Europe fédérée qui par malheur n’existe encor
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lle ferveur sentimentale — oh ! non. Personne n’a
jamais
exigé que les Thurgoviens et les Vaudois ou les Grisons romanches et
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leurs muscles, avec leurs bras, leurs mains, mais
jamais
avec leur cerveau. Et s’ils ont une tête, eh bien, c’est pour porter
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en tant qu’États souverains les nations ne seront
jamais
prêtes à s’unir ! Il appartient à leur être même d’État, à leur défin
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soi-même. L’union, pour deux États-nations, n’est
jamais
qu’une mesure de fortune, voire qu’un expédient désespéré (comme par
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Churchill en juin 1940) autrement dit : ce n’est
jamais
qu’une concession douloureuse à la nécessité, quand on se sent trop f
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ourmillera de points d’interrogation ! Il ne dira
jamais
: « Right or wrong, our Europe ! » mais il fera voir que l’Europe ser
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e. Moi, je trouve cela admirable et merveilleux !
Jamais
depuis le Moyen Âge, on ne s’était autant occupé des universités que
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n côté : L’union, pour deux États-nations, n’est
jamais
qu’une mesure de fortune, voire un expédient désespéré (comme par exe
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Churchill en juin 1940), autrement dit : ce n’est
jamais
qu’une concession douloureuse à la nécessité, quand on se sent trop f
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tion. Nous sommes le seul pays européen qui n’ait
jamais
été tenté de devenir un État-nation unitaire, d’uniformiser tous ses
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n imbécile, qu’une seule d’entre elles consentira
jamais
à remettre une part de ses pouvoirs à une autorité supranationale ? »
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érance-là, je l’éprouve aujourd’hui plus vive que
jamais
; s’il est vrai qu’on ne peut bâtir sur de l’ancien (les États-nation
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nes de la pierre, et suinte de la nuit des Temps.
Jamais
plus près du Néant primordial, dans le noir pur. ⁂ Toutes choses qui
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qui s’est livré. Le drame originel s’accomplit, à
jamais
suspendu dans l’instant de stupeur qui vient après l’acte tragique.
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errestres à 16 ans m’a fait jouer du violon comme
jamais
, mais ce n’était pas assez, je suis sorti, sur mon vélo j’ai foncé ve
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issent au gracieux mamelon des Cyprès, rendu pour
jamais
célèbre avec la Tour et le cimetière de Solférino, par l’horrible tue
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e l’influence la plus oppressive que le monde ait
jamais
connue, elle deviendrait un véritable bienfait… » Le Nationalisme et
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es ethnies et les économies ne coïncident presque
jamais
. (Chose étrange, c’est ce dernier groupe d’objections ou difficultés
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presse féminine mais curieusement on n’en arrive
jamais
au remariage. Pourquoi ? L’une des grandes difficultés du sujet tient
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essentiel ce sont les caractères, qui ne changent
jamais
(« on ne peut pas changer de place les raies du zèbre », dit un prove
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vie, quand ils comprendront que la passion n’est
jamais
une raison de se marier mais au contraire une raison de ne pas se mar
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que j’ai déjà écrit sur le fédéralisme. Il n’y a
jamais
eu en moi deux activités distinctes, mais au contraire osmose complèt
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ont, « la seule définition de la personne qui ait
jamais
paru dans ces revues personnalistes ». Cet article, « Définition de l
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ope. Là-bas, il est bien certain qu’on n’arrivera
jamais
à unir ces États-nations. Il faut donc, nous répète M. de Rougemont,
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ns parce que les gouvernements, évidemment, n’ont
jamais
d’argent. Enfin, j’ai, par des tours de force, réussi à créer ce Cent