1 et notamment chez nos voisins français, épris de logique , disent-ils, et centralisateurs. Un Français cultivé et qui se demand

2 neutraliser ou à les effacer par les moyens de la logique ou de la force, car il a pour passion maîtresse de les faire vivre en

3 en pressentir les intentions. Il pourrait sembler logique de commencer par définir le fédéralisme avant d’en étudier les exempl

4 e le fédéralisme n’est précisément pas un système logique que l’on puisse déduire dans l’abstrait à partir d’une définition sim

5 neutraliser ou à les effacer par les moyens de la logique ou de la force, car il a pour passion maîtresse de les faire vivre en

6 ion évoque la quadrature du cercle aux yeux de la logique rationaliste de nos pères. En revanche, elle apparaît conforme à la l

7 s pères. En revanche, elle apparaît conforme à la logique déduite des sciences physiques, et biologiques dans cette seconde moi

8 de l’Europe, et sans laquelle nos sciences et nos logiques ne seraient pas ce qu’elles sont, ou n’auraient pas eu lieu. Lors du

9 imples de lignes, clairs et satisfaisants pour la logique , mais par là même infidèles au réel, vexants pour les minorités, dest

10 ue rationnel, et dialectique plutôt que seulement logique . Elle échappe aux catégories statiques et géométriques du rationalism

11 et qu’on ne se laisse pas entraîner par une verve logique ou polémique qui risquerait de paraître peu réaliste, voire peu suiss

12 Vous voyez bien. Ensuite, parce qu’il défie notre logique . » Je retiens aussi de cette soirée une théorie pseudo-arithmétique s

13 oire qu’ils y sont enfermés. Au-delà des impasses logiques , le désir bâtit la cité. Le désir d’habiter une ville, d’y circuler à

14 ’État, ou la nation, c’est l’aboutissement final, logique , normal et inévitable du Progrès. Pour dissiper cette illusion, il fa

15 ralisme ? Par un cheminement absolument normal et logique — inévitable. La personne, c’est l’individu à la fois libre et respon