1 une « culture nationale » bien caractérisée ; ni même d’avoir été la mère de grandes écoles d’art, de littérature ou de pen

2 radictions, d’oppositions et de tensions. On peut même dire qu’il est fait de contradictions, mais qu’à la différence de tou

3 e, de tout ordre géométrique simpliste, et par-là même tyrannique. (« La tyrannie est le souverain désordre », disait Vinet.

4 st pourquoi il veut leur union, leur entraide, et même , dans certains cas bien définis, la mise en commun de leurs ressource

5 ique ou culturelle dans une nation manifestent le même état d’esprit que ceux qui n’admettent rien d’autre que leur manière

6 n l’appelle chez nous Kantönligeist) relève de la même mentalité que le totalitarisme, à l’échelle nationale. Il traduit le

7 talitarisme, à l’échelle nationale. Il traduit le même manque d’imagination, de vitalité, de sens des proportions, d’ouvertu

8 coexistence » digne du nom. C’est aussi, et c’est même avant tout, une méthode de composition des valeurs diversifiées, — et

9 eurs diversifiées, — et voilà, me semble-t-il, du même coup, une assez bonne définition de la culture ! ⁂ Pour qu’il y ait c

10 nt aujourd’hui l’Europe, et dont la plupart n’ont même pas cent ans d’existence : il faut bien admettre que la culture s’éta

11 tion de la peinture suit à peu de choses près les mêmes voies. Or ces voies, notons-le, traversent avec une glorieuse indiffé

12 la technique et l’architecture, sont largement ou même totalement indépendants des langues modernes, et ne sont, de toute év

13 française », bien que nous parlions à peu près la même langue, je trouve ceci : 1° la culture, dans nos cantons, n’est pas

14 nçaises. 3° nous sommes de vieilles républiques — même Neuchâtel, en dépit de ses princes — fondées sur une large autonomie

15 tre tempérament particulier, mais cela revient au même . 5° nous ne sommes pas seulement voisins du monde germanique : nous s

16 Autant de réalités ou d’entités qui n’ont pas les mêmes frontières, qui ne se couvrent que très partiellement, et qui permett

17 dinand de Saussure, mais beaucoup d’excellents ou même de grands esprits qui avaient ce sens, trop rare chez nos voisins. Ce

18 du continent. Très près de l’actualité, en raison même de leur objet, qui se compose, se définit et se modifie sous nos yeux

19 dans ces conditions de fait, leur souveraineté et même leur indépendance, au sens classique de ces expressions ? Aucun de no

20 la plupart issus de la résistance à l’hitlérisme, même en Allemagne et en Italie — et qui bientôt formeront l’Union européen

21 et contre eux à l’en croire, mais en fait dans le même sens final qui est celui d’une Europe autonome rendue forte par son u

22 les et des doctrines. Créer une union économique, même restreinte à quelques pays pour commencer, c’est virtuellement modifi

23 les et concrètes au plan économique, ayant par là même alerté les intérêts et l’opinion, elle débouche enfin sur le plan pol

24 eable, fût-ce au seul titre de repoussoir, disons même d’épouvantail. À l’autre extrême, on peut concevoir une Europe qui ne

25 e souveraineté ne serait pas limitée, en fait, et même en droit, par leurs alliances mêmes. Cette solution pose un certain n

26 e, en fait, et même en droit, par leurs alliances mêmes . Cette solution pose un certain nombre de problèmes qui pourraient et

27 onsidérés comme seule réalité tangible, ou par là même , elle présente un attrait certain pour ceux qui souhaiteraient laisse

28 es, dont l’autonomie se voit assurée par la force même de leur union. La fédération garantirait leur souveraineté — dans les

29 ple et de quelques principes axiomatiques. On l’a même décrit comme l’antisystème10. Aux yeux de la plupart des auteurs cont

30 donc s’exposer à trahir méthodiquement sa nature même . Voilà sans doute pourquoi ce sont ses adversaires qui éprouvent le m

31 hon, Du Principe fédératif, qui, en 1863 (l’année même où Littré publie l’article que je viens de citer) inaugure la révolte

32 nds styles de vie et de civilisation, capable, au même titre que le libéralisme, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter

33 ette enquête, quelques critères permanents, voire même , si possible, quelques définitions, et en passant, quelques lumières

34 nos gloires ayant atteint le niveau européen, ou même mondial, dessinerait un profil caractéristique par ses dépressions au

35 nguent des romans français, anglais ou russes des mêmes époques par la gravité du propos, le dédain pour l’invention romanesq

36 n très petit territoire, agira totalement dans le même sens. La Suisse se doit de réagir à temps en soutenant plus « matérie

37 radictions, d’oppositions et de tensions. On peut même dire qu’il est fait de contradictions, mais qu’à la différence de tou

38 e de tout ordre géométrique, simpliste, et par là même tyrannique. Or la tyrannie est le souverain désordre, comme le disait

39 st pourquoi il veut leur union, leur entraide, et même , dans certains cas bien définis, la mise en commun de leurs ressource

40 ique ou culturelle dans la nation, manifestent le même état d’esprit que ceux qui n’admettent rien d’autre que leur manière

41 aux échanges. Ce nationalisme local relève de la même mentalité que le totalitarisme à l’échelle nationale. Il traduit le m

42 otalitarisme à l’échelle nationale. Il traduit le même manque d’imagination, de vitalité, de sens des proportions, d’ouvertu

43 e coexistence digne du nom. C’est aussi, et c’est même avant tout, une méthode de composition des valeurs diversifiées, — et

44 nt aujourd’hui l’Europe, et dont la plupart n’ont même pas cent ans d’existence : il faut bien admettre que la culture s’éta

45 tion de la peinture suit à peu de choses près les mêmes voies. Or ces voies, notons-le, traversent avec une glorieuse indiffé

46 la technique et l’architecture, sont largement ou même totalement indépendants des langues modernes, et ne sont, de toute év

47 française », bien que nous parlions à peu près la même langue, je trouve ceci : 1° la culture, dans nos cantons, n’est pas l

48 çaises ; 3° nous sommes de vieilles républiques — même Neuchâtel, en dépit de ses princes — fondées sur une large autonomie

49 tre tempérament particulier, mais cela revient au même  ; 5° nous ne sommes pas seulement voisins du monde germanique : nous

50 e, à part Rousseau, mais beaucoup d’excellents ou même de grands esprits qui avaient ce sens, trop rare chez nos voisins. Ce

51 enté de vous le montrer une fois de plus, vit des mêmes réalités spirituelles et morales, et prend ses sources dans les mêmes

52 tuelles et morales, et prend ses sources dans les mêmes attitudes de pensée que la culture créatrice. On ne sauvera pas l’un

53 tre part réduiraient l’Europe à l’anticommunisme, même pas philosophique mais « géographique ». N’ayant jamais connu d’« Eur

54 réaliser intégralement sans se trouver engagé du même coup dans le complexe social. Et aux collectivistes, nous rappelons q

55 lectivisme : ces deux extrêmes, eux, sont dans le même plan, se conditionnent et s’appellent l’un l’autre. C’est avec la pou

56 au plan politique ; et enfin les vertus sont les mêmes dans les deux cas : liberté et responsabilité composées, quand l’équi

57 monie ni sa menace ne sont principes fédérateurs, même négatifs. Mais qu’un État ou une coalition, disposant de l’hégémonie,

58 irs et satisfaisants pour la logique, mais par là même infidèles au réel, vexants pour les minorités, destructeurs des diver

59 u une erreur dans le fait qu’une minorité ait les mêmes droits qu’une majorité. C’est qu’à ses yeux la minorité ne représente

60 qualitative des États membres, qui y délèguent le même nombre de représentants quelle que soit leur population. Mais le jeu

61 tés propres. La richesse de l’Europe et l’essence même de sa culture seraient perdues si l’on tentait d’unifier le continent

62 ns, Scandinaves et Grecs, se verraient soumis aux mêmes lois et coutumes, qui ne pourrait satisfaire aucun de ces groupes ; e

63 aussi poumon que possible, et, dans cette mesure même , il aidera le cœur à être un bon cœur. Cinquième principe. Le fédéra

64 r des complexités culturelles, psychologiques, et même économiques, telle est la santé du régime fédéraliste. Et ses pires e

65 eurs et d’excessives prudences — est la condition même de nos libertés. C’est grâce à elle que nos fonctionnaires sont rappe

66 rels, linguistiques, religieux, qui n’ont pas les mêmes frontières, et qui se recoupent de cent manières différentes. Il est

67 insi dans plusieurs de ses dimensions la personne même de ceux qui s’y rattachent. Certes, il est plus facile de décréter su

68 bipolarité, comme on voudra, qui est le battement même du cœur de tout régime fédéraliste. L’oublier serait se condamner à r

69 communications, voire de l’aviation4, la fonction même de ces moyens coûteux étant de dépasser les cadres physiques dans les

70 des psychologies dont chacun sait que la variété même conditionne la puissance créatrice de l’Europe. Il convient donc d’at

71 es compétences administratives — mais libérant du même coup les énergies individuelles ou locales pour de nouvelles création

72 ividuelle, d’autre part, résultent d’une seule et même démission de la personne devant sa liberté et devant sa responsabilit

73 sans taxes, et acheter ce qui se fait partout, au même prix et en francs européens. Ce marché commun de 400 millions de prod

74 la protection d’une partie limitée, d’en jouir et même mieux qu’avant. Car chaque citoyen de l’Europe relève d’un pays d’ori

75 ement obtempéré. Or, ces puissances n’étaient pas même européennes, et sans l’appui de l’une aucun pays d’Europe ne peut se

76 nouveau que celui des souverainetés, et qu’il est même sans précédent dans l’ère moderne. Voici comment on peut l’imaginer.

77 au profit des régions méridionales, fluviales, ou même alpestres. Ces phénomènes d’une ampleur croissante ne vont pas sans p

78 Afrique, de l’Asie, du monde arabe, au sein d’une même civilisation technique née en Europe mais rapidement adoptée par tous

79 bles. On ne peut choisir plus d’un membre dans le même pays. Son président est élu par l’Assemblée. Il porte le titre de pré

80 érale. f) Siège des autorités fédérales Les mêmes raisons qui veulent que la fédération soit gouvernée par un Collège,

81 ever de l’État fédéral ou d’entreprises mixtes ou même privées. Les chemins de fer sont fédéraux en Suisse, privés aux USA,

82 iage d’enseigner aux jeunes gens que leur choix — même garanti d’apparences très raisonnables, relève toujours d’une sorte d

83 ette note : « Tous les couples ont des histoires, même les couples heureux. Ils ont des problèmes, des déceptions, des inqui

84 e, ni sur les cartes, ni dans les chartes. Le nom même était inconnu. La Suisse s’est formée peu à peu, du xive au xvie si

85 ecevra en 1815 la garantie de son indépendance et même de sa neutralité « dans les intérêts de l’Europe entière ». Si les Li

86 Du moins les Ligues conservent-elles le principe même de l’Empire d’Occident, l’idée d’union sans unification, qui deviendr

87 c’est la vie : l’uniformité, c’est la mort. » Au même moment, la Sainte-Alliance des rois donne une base et une finalité ex

88 hurchill choisit de parler de l’Europe, et que la même année 1946, les premières Rencontres internationales de Genève prenne

89 eprenants qui l’ont permis. Qu’a fait, pendant ce même temps, la Suisse légale ? Et que pensaient les Suisses moyens ? ⁂ Des

90 serait contraire à notre Constitution. Ce serait même la fin de notre fédéralisme et de la démocratie directe, n’hésitent p

91 xemple que la Suisse se devrait de rester neutre, même en cas de conflit entre l’Europe d’une part, et l’URSS ou la Chine de

92 Morgarten, de Marignan, ou du xviiie siècle, ni même celle de 1848 qu’il s’agit de sauver aujourd’hui, mais bien la Suisse

93 eprendrait à son compte ce qui demeure valable et même indispensable dans la neutralité d’une fédération. Mais il n’y a aucu

94 unc : celui de notre responsabilité européenne et même mondiale en tant que Suisses, et comme État qui entend garder une rai

95 ntrairement à la neutralité, il tient à l’essence même de notre État. C’est notre création majeure. Il nous oblige. Et en so

96 ppenzellois et le petit Genevois n’ont pas lu les mêmes livres sur les bancs de l’école ; et si plus tard ils écrivent et pub

97 ymbole. La personnalité exceptionnelle, et par là même impopulaire, du commandant de cette école était faite pour favoriser

98 me. Cet échec essentiel produit en somme la durée même de l’Histoire. Et malheur à celui qui n’est pas prêt à tirer son bien

99 l’eau ou d’un nuage : ce seraient à peu près les mêmes rapports de lumières diffuses et d’ombres, avec certains reliefs tact

100 pu ou voulu produire de machines, de turbines ou même de canons, jusqu’à ces toutes dernières décennies, et n’y auraient pa

101 n résulte que le corps physique, et la matière du même coup, se trouvent fortement valorisés comme objet des recherches de l

102 re inutiles. Pourtant, il semble bien que l’excès même de la puissance des armes inventées par nos sciences ait tout d’un co

103 ombe H, n’ont certes pas amené le désarmement, ni même ralenti la production des armes conventionnelles, mais elles ont rend

104 loin l’accroissement de leurs ressources dans le même temps : or ces dernières étaient déjà beaucoup trop faibles… Voilà le

105 aura au moins doublé d’ici vingt ans. À supposer même que notre science découvre les moyens de créer des aliments synthétiq

106 si qui leur met fin, et aujourd’hui les freine ou même les bloque. III Ceci dit, reconnaissons que la guerre bloquée,

107 n partie libérés des rythmes de la vie animale et même des saisons, les citadins du xxe siècle seraient-ils des monstres, p

108 intentions primitives, dans sa genèse, elle n’est même pas utilitaire ! L’histoire des grandes inventions, de celle du feu à

109 té de notre action. Mais surtout, par ses progrès mêmes , par les moyens de puissance toujours plus formidables et, en même te

110 nglais. Un pays que tout le monde croit connaître même sans y avoir jamais été, car tout le monde sait qu’il est beau mais s

111 e mérite la plus grande attention. Voici, au cœur même de l’Europe et en plein milieu du xx e siècle, un peuple à peu près u

112 s totalitaires : une foi, une loi, un roi (sur un même territoire), et plus tard : ein Volk, ein Reich, ein Führer, devises

113 âlois s’aiment d’amour tendre. On ne leur demande même pas de se connaître ! Un jodleur d’Appenzell avec son disque de laito

114 Mais ils savent bien qu’ils font partie de cette même Suisse dont les institutions communes leur garantissent un droit fond

115 ds, bref, tout à fait semblables par leur variété même aux vingt-deux petits États suisses, je ne vois et ne puis imaginer u

116 tons inégaux à tant d’égards, pourrait rendre les mêmes services dans le cas de nations dont l’inégalité relative n’est pas m

117 unique, incomparable. Or cette fonction reste la même qu’il s’agisse du corps d’un petit enfant ou de celui d’un colosse. N

118 er pour se reformer deux jours plus tard avec les mêmes sauf lui : il a compris. — Sur quoi, un intendant général des écoles

119 rte et qui assure le succès durable d’un discours même de pure circonstance. Sa phrase finale au congrès de la culture (Laus

120 urope, cause commune s’il en fût, un temps qui du même coup devait manquer à ce qu’on nomme leur œuvre personnelle, et de ce

121 un Maharati ou un Gujerati d’un Ibérique. Dans le même discours, il montre les difficultés du dialogue avec les staliniens :

122 Quelle que soit la monnaie, l’achat sera fait au même compte. Lorsqu’il ouvrit à Vienne en 1927 le premier congrès du mou

123 e, mais de la CECA et du Marché commun. (Le terme même de « Marché commun » figure là pour la première fois : il est donc dû

124 e Plan prudemment mis au point d’union douanière ( même pas économique) entre six pays seulement sur les vingt-cinq qui compo

125 ue, n’est pas encore abordé par les Six, et n’est même pas posé par les autres. En l’absence — à peine croyable — de tout pr

126 ouvernements proclament cette union nécessaire et même urgente. À ce mystère, ou plutôt ce scandale, je propose une explicat

127 amais prêtes à s’unir ! Il appartient à leur être même d’État, à leur définition même de nations souveraines de refuser l’un

128 rtient à leur être même d’État, à leur définition même de nations souveraines de refuser l’union, de se vouloir chacune uniq

129 oute vie sociale et publique en Grèce. Elle donna même son nom à cette forme d’activité : la politique ! De même que la poli

130 nnes, la révolution régionaliste sera faite et du même coup, la fédération de l’Europe se révélera immédiatement possible. I

131 eaucoup plus opérationnelle que le département et même que la nation. Qu’une telle déclaration ait pu être faite en France,

132 l’enseignement secondaire de nos pays, les bases mêmes de l’union européenne se déroberont sous les pas des hommes politique

133 révélera de la sorte la nécessité de l’union, et même les formes spécifiques que celle-ci devra prendre, et pourra prendre.

134 (D’ailleurs, si elle ne l’était pas, ce serait le même prix !) Quand je vous dis que les échanges, c’est la santé de la cult

135 t un peu de cervelle, quelquefois ; et il y avait même des amiraux. Je ne vous dis pas cela pour vous faire rire : la célèbr

136 que j’appelle des échanges — et qui est la santé même — devient un exode qu’il faudrait déplorer ou arrêter si on le peut.

137 un médecin, ou un dentiste, soit retenu à Genève, même s’il y est moins payé qu’ailleurs, parce qu’il n’est pas uniquement p

138 tion n’est pas un mot inventé par Cohn-Bendit, ni même par Sartre. Contestation, c’est un terme qui est lié à l’Université d

139 ente, à laquelle tout le monde participait sur le même plan — simplement le professeur, ayant plus d’expérience, dirigeait l

140 — c’était essentiellement une contestation. On a même défini la méthode scolastique comme étant essentiellement une discuss

141 à Belgrade ces jours-ci, à Paris bien entendu, et même un tout petit peu à Genève, ai-je entendu dire. Moi, je trouve cela a

142 rs. Il faudrait qu’il soit admis que la substance même de ces cours soit la remise en question permanente des buts, des hiér

143 ope. Ils vous expliqueront cela très bien. Sur le même sujet des États-Unis, M. Lalive disait tout à l’heure : Je n’ai pas v

144 ues années, mais à la longue ce n’est pas payant, même pour la recherche scientifique. Je défends ici une conception profond

145 ées (1968)w Il y a vingt-et-un ans, dans cette même Université, avec une poignante éloquence, Winston Churchill appelait

146 dans le sens de la nation.25 Il est vrai que le même André Malraux quelques jours plus tard, interrogé par des jeunes gens

147 nt aux dépens de l’Empire et de la papauté, voire même contre ces grands symboles de l’unité du globe, de l’universalité du

148 , qui entend faire coïncider à tout prix dans les mêmes limites imposées du territoire hérité ou conquis, déclarées frontière

149 CA.) Ils sont trop petits pour se défendre seuls, même avec l’aide d’une petite ou moyenne force de frappe, pratiquement ann

150 il y a quelque chose d’essentiel dans leur nature même , quelque chose de constitutif qui les retient de s’unir. Et nous voyo

151 ra plus de problème, ou bien modifier les données mêmes du problème, c’est-à-dire chercher à fonder l’union sur autre chose q

152 es les plus profitables. Mais changer les données mêmes du problème de l’union pour le rendre soluble, c’est d’abord accepter

153 nombreuses régions de la France, de l’Italie, ou même de l’Allemagne qui a obligé les gouvernements de ces pays à étudier t

154 iennes, la révolution régionale sera faite, et du même coup la fédération de l’Europe se révélera immédiatement possible. Il

155 eaucoup plus opérationnelle que le département et même que la nation. Qu’une telle déclaration ait pu être faite en France,

156 oute vie sociale et publique en Grèce. Elle donna même son nom à cette forme d’activité : la politique ! De même que la poli

157 x peut dépendre de considérations contingentes et même comporter une part de subjectivité dans l’appréciation. En ce qui con

158 ique, essentiellement urbaine et mobile. Le terme même d’État indique très bien ses origines agricoles : status, State, Staa

159 relations d’interdépendance. D’ailleurs, le terme même d’indépendance est en train de perdre son sens ancien, stato-national

160 ’État-nation voulait tout faire coïncider dans le même cadre : culture, ethnie, religion, existence économique, loyauté enve

161 rnationales qu’elle est fière d’accueillir ? Non, même « dissociée » économiquement, rien n’empêcherait la Suisse de cultive

162 riac, dans le Figaro littéraire qui parut le jour même où je prononçai ma conférence. 30. Cf. Remarques de M. Louis Armand,

163 pendant la semaine précédant le congrès à La Haye même , où les séances du Comité de coordination des six mouvements particip

164 mois, mis au point une dernière fois à la veille même du congrès, le Message avait été imprimé au haut d’un long rouleau

165 mation fut unanime, mais la campagne populaire du même coup se trouvait annulée : plus moyen de signer un document où l’on a

166 cessus quelconque d’union politique, n’atteignent même pas l’objectif minimum de la chute réelle des barrières douanières… M

167 r l’avenir du Mouvement européen quand on ne voit même plus son présent ? Son impuissance avérée tient au fait qu’il a opté,

168 , c’est l’opinion prudente, rassurante, et par là même inefficace, des politiciens « réalistes » et pragmatistes à l’anglo-s

169 fédéralistes l’aient inventée pour leur part à la même époque ; la diachronie impose parfois des prises de consciences synch

170 e ces sentences : Pour ceux qui entrent dans les mêmes fleuves, autres et toujours autres sont les eaux qui s’écoulent, et l

171 s pas, nous sommes et nous ne sommes pas dans les mêmes fleuves… On ne peut se baigner deux fois dans le même fleuve. II

172 fleuves… On ne peut se baigner deux fois dans le même fleuve. II Il est permis de lire bien des choses dans ces phra

173 a durée ; ce qui est posé et sa métamorphose ; le Même et l’Autre vus ensemble, génialement assumés par la pensée des vision

174 République de l’Aar » parce qu’elle a montré les mêmes pouvoirs souverains de rassemblement, Berne est une expression de l’A

175 s d’abord ce qui est international, ce qui est le même partout, dans chacun de nos pays, indifférent au lieu et sans accent 

176 rivière germano-celte romanisée qui porte le nom même du cours d’eau en soi, fait du redoublement de la première — insistan

177 ne autre résistance obscurément s’oppose à l’idée même d’une « prise de vue ». Quelque sourd interdit règne ici. Quelque cho

178 re, à ce lieu dont le nom reste l’Ombre. Mais ici même , près de la fontaine, où je suis, où l’oracle était, Œdipe s’est tenu

179 prononcent en même temps, résultent en partie des mêmes causes, et entraînent des effets complémentaires, j’entends le dépass

180 ue tous nos États centralisés — et dans la mesure même où ils sont centralisés — se révèlent trop grands pour animer la vie

181 ion des jumelages européens entre communes de ces mêmes régions, créations d’organismes de coopérations multinationales du ty

182 mouvements de convergence européenne et mondiale, même s’ils disent s’inspirer du propre exemple de la fédération des canton

183 vers des unions plus vastes, qui est le battement même du cœur d’un régime sain, j’entends immunisé contre le virus totalita

184 vera son salut. » Plus étonnant encore, en Suisse même , il y a quelques années, on put entendre le recteur d’une de nos univ

185 . Voilà qui est proprement occidental : devant ce même problème de l’un et du divers, les métaphysiques orientales prennent

186 t. Et ils écrivent : « Nous enseignons un seul et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme… fils unique en deux n

187 l’un et l’autre, a cessé d’être un scandale, est même devenue principe fondamental d’interprétation du réel (je pense aux t

188 Camus), distingué du troupeau par cette vocation même dont l’exercice le relie à la communauté, cet homme se constitue dans

189 problème général de l’œcuménisme n’est-il pas le même en sa forme que ceux que nous venons d’évoquer, puisqu’il consiste à

190 se, des vocations particulières au sein de l’Être même de l’Universel, source et fin de toute communauté. Dans tous ces doma

191 niveau de la vie civique ou politique — c’est le même mot, selon l’étymologie — que nous allons enfin retrouver le problème

192 nds styles de vie et de civilisation, capable, au même titre que le libéralisme, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter

193 s divers niveaux ne seront pas nécessairement les mêmes , elles ne se recouvriront pas toutes comme l’exige la tradition unita

194 unitaire laquelle veut, à tout prix, imposer les mêmes frontières à des réalités qui n’ont rien en commun, totalement hétéro

195 , etc. C’était insoluble pour les fonctionnaires, même les mieux entraînés, d’une vieille fédération. Les ordinateurs ont tr

196 lant théâtre… » L’on ne trouve dans ces pages pas même une inflexion qui puisse trahir le moindre doute de l’auteur quant à

197 nationalité, suivent mon exemple en témoignant la même bienveillance à tous ces hommes d’origines si diverses, et qui leur s

198 où de nouveaux progrès ne sauraient être de trop, même dans les armées les mieux organisées, j’aurais pleinement atteint mon

199 alistes de Castiglione, mais sans nul commentaire même implicite). Dunant se limite, par une tactique que je ne saurais croi

200 égitime ni fatale est nettement impliquée dans ce même passage : Certains, comme J. de Maistre, ont nommé la guerre « divin

201 st a opposé l’amour, Dunant répond encore dans le même fragment intitulé Un christianisme blasphématoire : La guerre, cette

202 ncipaux de la guerre qui se préparait étaient les mêmes que ceux qui, justement, achevaient de former l’État-nation : l’École

203 , Dunant, pas plus que tant d’autres prophètes du même temps, Jakob Burckhardt, Nietzsche, ou Georges Sorel, n’a rien pu con

204 avec parfois d’assez grands succès commerciaux et même littéraires, par ceux des grands éditeurs d’Europe qui, dès le début,

205 fense, tourisme, etc.) doit dépendre d’un seul et même organisme, l’État, dans les limites d’un seul et même territoire sur

206 organisme, l’État, dans les limites d’un seul et même territoire sur lequel cet État se déclare souverain. — Cette superpos

207 la prospérité de ses citoyens. Aujourd’hui, cette même réduction correspond à la seconde nature de l’homme alphabétisé, cara

208 Faut-il vous faire un dessin ? » évoque le modèle même de toute explication propre à convaincre le pire des imbéciles dans c

209 isation » de la France et de l’Italie cette année même .) Certaines raisons psychologiques s’ajoutent d’ailleurs au refus ins

210 y a problème et qu’on peut en parler, qu’il faut même en parler librement et sérieusement. La crise du mariage et la cellul

211 usement. La crise du mariage et la cellulite sont même devenues les deux mamelles de la presse féminine mais curieusement on

212 aussi son image de l’homme qui lui fait faire les mêmes erreurs. « Je suis tombée amoureuse de lui avant même qu’il ait dit u

213 pas fatale, qui pourrait flamber au grand jour et même au jour le jour ? Non, la passion implique la fatalité. La passion di

214 sionné. Tout ça, ce sont les défauts possibles et même courants d’un premier mariage. Ces causes d’échec sont-elles automati

215 tant les indications pour l’imprimerie de la main même de Mounier, fit l’objet de discussions approfondies auxquelles priren

216 trouve leur réaction absolument normale et saine, même s’ils vont parfois trop loin, même s’il y a trop de drogues à l’appui

217 male et saine, même s’ils vont parfois trop loin, même s’il y a trop de drogues à l’appui. C’est une réaction vitale de leur

218 tre ce monde qui est en train de ruiner les bases mêmes de la passion. Car, finalement, si on arrive à supprimer tous les pro

219 , mais sans s’arrêter aux frontières du Québec ou même au niveau de la fédération canadienne. Il faut aller jusqu’au niveau

220 n croyait le plus intimement, c’est-à-dire l’être même de la personne — qui est actualité, agir. Alors je trouve dans ma déf

221 tout ce que vous voulez — on met tout ça dans une même frontière, ce qui est démentiel, n’est-ce pas ? C’est une absurdité t

222 exister. Eh bien, le mariage, c’est exactement la même chose entre un homme et une femme. […] Vous avez du monde une vue qui