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ctement, nous qui n’avons pas eu la chance, ou le
malheur
, d’avoir une soi-disant « culture nationale », intermédiaire entre l’
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ctement, nous qui n’avons pas eu la chance, ou le
malheur
, d’avoir une soi-disant culture nationale, intermédiaire entre l’Euro
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succès prodigieux révèle notre préférence pour le
malheur
, l’amour impossible, c’est le mythe européen de l’adultère. Qu’est-ce
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ion. Que le mythe de Tristan, origine de tous nos
malheurs
, soit définitivement balayé des consciences occidentales, et la crise
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produit en somme la durée même de l’Histoire. Et
malheur
à celui qui n’est pas prêt à tirer son bien de ce mal ! Malheur à cel
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i qui n’est pas prêt à tirer son bien de ce mal !
Malheur
à celui qui exigerait de réussir pour persévérer, après n’avoir entre
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i autour de moi, tant il est vrai que l’idée d’un
malheur
universel et définitif agit peu sur l’imagination : malheur de tous,
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iversel et définitif agit peu sur l’imagination :
malheur
de tous, malheur de personne en particulier. Je n’ai pu observer la p
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tif agit peu sur l’imagination : malheur de tous,
malheur
de personne en particulier. Je n’ai pu observer la peur de la menace
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is que dans le mythe à une Europe fédérée qui par
malheur
n’existe encore que dans l’espoir. Entre les deux, où est la vraie Su
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ire. Certains le sont parfois devenus pour le dur
malheur
de l’Europe, sous Napoléon, sous Hitler. Ces « terribles simplificate
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à utiliser quotidiennement. Mais pas du tout : le
malheur
congénital du fédéralisme reste d’être un concept dialectique, ambigu