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i nommé « l’attitude fédéraliste ». Plusieurs des
membres
de ce groupe, dispersé dès 1939, se retrouvent pour déclencher, après
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at garantit l’individualité qualitative des États
membres
, qui y délèguent le même nombre de représentants quelle que soit leur
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faible mais bientôt accusée d’oppression par ses
membres
, et à des droits trop limités mais taxés d’abusifs par le centre. La
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l’éducation. Il est facile de voir que chacun des
membres
d’une fédération bénéficiera d’une organisation uniforme et centralis
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iciera de la vitalité culturelle de chacun de ses
membres
: or cette vitalité ne supporterait pas l’uniformisation des régimes
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araîtra normal ou nécessaire soit de déléguer aux
membres
de la fédération l’administration locale d’activités relevant en prin
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cée (uniformisation) aurait frustré chacun de ses
membres
, au lieu de lui permettre de les transmuer en émulation créatrice au
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s d’un jeune homme. Les citoyens de tous les pays
membres
de la fédération européenne circulent du nord au sud et de l’est à l’
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ue l’on devienne d’abord citoyen de l’un des pays
membres
, voire d’une de ses communes. Tout citoyen d’un État membre qui s’éta
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ire d’une de ses communes. Tout citoyen d’un État
membre
qui s’établit sur le territoire administré par un autre État membre y
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it sur le territoire administré par un autre État
membre
y bénéficie de tous les droits civiques et sociaux. Il y vote, et il
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ique. Pour sa police interne et pour garantir ses
membres
contre l’extérieur, elle entretient des forces défensives organisées
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dre local. En cas d’attaque contre n’importe quel
membre
de la fédération, tous les autres se portent automatiquement à sa déf
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e un grand espace composé d’une vingtaine d’États
membres
, et de quelques États associés (bordure de l’Est). La souveraineté de
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associés (bordure de l’Est). La souveraineté des
membres
est garantie par la Constitution fédérale, nonobstant la mise en comm
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et pourtant elle garantit la souveraineté de ses
membres
! Souveraineté fictive, dira-t-on ? Elle l’est certes en partie ; pas
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partition des pouvoirs entre la fédération et ses
membres
sont l’expression directe des principes énoncés plus haut, et s’en dé
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politique étrangère, et de la défense. Aucun État
membre
ne pouvant plus conclure d’alliances séparées ni avec d’autres États
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clure d’alliances séparées ni avec d’autres États
membres
ni au-dehors, c’est la fédération qui assure la représentation diplom
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cas d’attaque contre la fédération ou l’un de ses
membres
, ou en cas de coup de force séparatiste de l’un des membres. La réduc
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u en cas de coup de force séparatiste de l’un des
membres
. La réduction des antagonismes intérieurs résultant de l’ouverture d’
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it à l’allié, comme s’il la faisait à l’un de ses
membres
. Une disposition de ce genre présente le double avantage de rassurer
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les activités qui dépassent la capacité des États
membres
. Elle administre les douanes fédérales. Elle élabore une politique de
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aménagement du territoire entrepris par les États
membres
. Elle légifère sur les transports, les postes, les grands travaux à l
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gissant concurremment avec les missions des États
membres
, chaque fois que les problèmes à traiter ou les conflits à résoudre d
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it l’ordre intérieur, les constitutions des États
membres
, et toutes les libertés personnelles et publiques reconnues par la Co
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nstitution fédérale. d) Attributions des États
membres
D’une manière générale, les États exercent tous les droits et devo
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l gère collégialement les affaires fédérales. Ses
membres
sont élus pour trois ans par l’Assemblée européenne et sont rééligibl
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et sont rééligibles. On ne peut choisir plus d’un
membre
dans le même pays. Son président est élu par l’Assemblée. Il porte le
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ts de compétence entre la fédération et les États
membres
; des différends entre les États ; des réclamations pour violation de
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taine de mouvements nationaux, et plus de 100 000
membres
, tient son premier congrès à Montreux, en septembre 1947. Cette date
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n’était plus mesurée que par l’alourdissement des
membres
. Un vent froid descendait des Alpes, une pluie fine s’établit. Tout n
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de cette note : « Conférence présentée devant les
membres
de l’Association amicale des anciens élèves de l’École polytechnique
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bre choix et le degré d’attachement réel de leurs
membres
. On n’est plus obligatoirement protestant parce qu’on est né à Genève
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conomies régionales, et que ses six États-nations
membres
y aient pris part. C’est l’arriération, le sous-développement de nomb
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ct pour les diversités et les autonomies des pays
membres
, c’est-à-dire très exactement le contraire de ce qu’il est. À l’inver
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tre à l’expérience et à l’initiative de celui des
membres
de son comité qui avait le mieux démontré le mouvement en marchant :
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en son nom dispose de la vie et de la mort de ses
membres
, plus ou moins citoyens ou sujets, selon les régimes, mais toujours c
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ril de restreindre la séparation des pouvoirs aux
membres
d’un cabinet : Ce n’est pas seulement entre sept ou huit élus […] qu