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déralistes depuis des siècles. Il s’ensuit que la
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d’uniformisation et d’oblitération des traditions locales est bien pl
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s du projet d’union européenne que provient cette
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de nivellement, mais plutôt d’un certain matérialisme philistin favor
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amis de la culture, et c’est aussi tout cela qui
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dans ses sources notre vitalité fédéraliste. On parle beaucoup, ces j
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ne survivent pas à sa défaite. L’hégémonie ni sa
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ne sont principes fédérateurs, même négatifs. Mais qu’un État ou une
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rincipe. Une fédération ne se crée pas contre une
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extérieure, ni à des fins impérialistes, mais au contraire : pour l’a
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ui dépassent les forces de chacune d’elle. Ni les
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arabes puis mongoles, ni l’entreprise des croisades, ni les Turcs dev
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e compose une « fatalité » ! En résumé, la grande
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du mariage, c’est la passion. Que le mythe de Tristan, origine de tou
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est pas vrai, d’ailleurs, que l’union de l’Europe
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d’effacer nos « caractéristiques nationales ». L’union de la Suisse,
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vement interrompu pour ceux de la Mégalopolis qui
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de couvrir le Plateau, de Genève à Romanshorn, avant la fin du siècle
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en particulier. Je n’ai pu observer la peur de la
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atomique qu’aux États-Unis, il y a trois ans, à une époque où toute l
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ques-uns avaient des chances d’échapper, alors la
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devenait beaucoup plus sensible aux autres… L’équilibre de la terreur
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istoire, et, si l’on constate d’autre part que la
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atomique tient en respect les deux empires occidentaux de l’Est et de
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déjà beaucoup trop faibles… Voilà le drame, et la
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plus grave que celle de la bombe H. Ainsi le contact avec l’Occident
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nt nous ne serions pas du tout responsables, elle
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au contraire d’anéantir toute espèce de vie sur la terre. La techniqu