1 ance particulière dans le monde de cette deuxième moitié du xxe siècle. Il symbolise et préfigure l’apport de l’Europe au tie

2 ance particulière dans le monde de cette deuxième moitié du xxe siècle. Il symbolise et préfigure l’apport de l’Europe au tie

3 nces physiques, et biologiques dans cette seconde moitié du xxe siècle. Mais en fait, le projet d’une Europe fédérale est ant

4 s et les autres ont tort, parce qu’ils n’ont qu’à moitié raison. Le véritable fédéralisme ne consiste ni dans la seule union d

5 ion personnelle de l’homme.5 Durant la première moitié du xxe siècle, la plupart des penseurs européens, pris d’angoisse de

6 urd’hui, mais bien la Suisse réelle de la seconde moitié du xxe siècle. Refuser de coopérer à l’édification de l’Europe unie,

7 ndre à réussir, ou à marcher, n’est encore qu’une moitié de l’art de vivre. Mais apprendre à ne pas réussir jusqu’au bout, à s

8 ut, à s’arrêter ou à subir l’arrêt, voilà l’autre moitié , non moins féconde. Car dans le monde réel où nous vivons, dans le te

9 a terre. Déjà nous vivons dans un cadre plus qu’à moitié artificiel. J’ai habité quelques années à New York dans un paysage ur

10 grâce aux trains, à l’auto, à l’avion, se vide à moitié sur les plages pendant l’été. Et je mets en fait que la jeunesse qui

11 éologie. Avec tout cela, je crois avoir plus qu’à moitié répondu à la seconde question, celle de savoir si les recettes du bon

12 e l’existence sociale dans l’Europe de la seconde moitié du xxe siècle. Quand on a vu de quoi la vie de l’Europe est faite, o

13 ges mentaux, qu’éprouve un homme de cette seconde moitié du xxe siècle à concevoir une Europe des régions, proviennent du « m