1 vé et qui se demande quel est le « vrai » sens du mot fédéralisme, recourt à son Littré, où il trouve ceci : Fédéralisme

2 tion forcée à l’uniforme, — dans tous les sens du mot . Ces images, qui sont autant d’évidences, suffisent à définir le fédé

3 ié le plus exactement dans l’histoire suisse). Le mot n’a été connu qu’au moment où la chose était niée par un puissant par

4 s dont l’anarchie serait la limite, en prenant le mot dans son sens littéral. Ces limites idéales, bien entendu, ne furent

5 tion forcée à l’uniforme, — dans tous les sens du mot . Prenons une autre image. Chacune des nations qui composent l’Europe

6 simple, mais non pas simple à définir en quelques mots , en une formule. C’est qu’elle est d’un type organique plutôt que rat

7 ue suisse illustre très clairement. En effet, les mots fédération et fédéralisme sont compris de deux manières très différen

8 Hugo : La Suisse dans l’histoire aura le dernier mot . Mais encore faut-il qu’elle le dise ! 13. Il s’agit de l’Acte add

9 édés et possibilités comme je peux jouer avec des mots ou des concepts, et en tirer quelques effets nouveaux ou justes. Faut

10 is : La Suisse, dans l’histoire, aura le dernier mot . Passer du premier vers au second, c’est passer du cliché à l’utopie

11 nazis vont apprendre au monde ce que veut dire le mot nation, au sens total et absolu. C’est dans la Résistance que se cons

12 ais pas allonger trop. Je voudrais dire encore un mot sur le rôle de l’Université, des universités dans la création de ces

13 uelle et de débats sur le fond. Je vais lâcher le mot  : il faut que l’Université redevienne le lieu de contestation. Mais a

14 ation. Mais attention : contestation n’est pas un mot inventé par Cohn-Bendit, ni même par Sartre. Contestation, c’est un t

15 ité engagée si vous voulez, pour prendre un autre mot qui a été à la mode lui aussi. Ces notions-là ont repris une vie très

16 station qui ne se fasse pas — ce sera mon dernier mot — en dehors de l’Université et contre elle, mais dans les cours — je

17 ] M. de Rougemont : Je voudrais répondre quelques mots très brefs à ce qui m’a été dit autour de cette table. Tout d’abord,

18 e économique a changé complètement de contenu. Le mot “indépendance” a perdu son sens simpliste d’autrefois. C’est maintena

19 ent ici les deux sens et la profonde ambiguïté du mot durée : il désigne à la fois « ce qui ne change pas » et l’écoulement

20 i. Épiant le lent progrès de la réminiscence. Le mot crime… Deux crimes obscurément sont liés à l’attrait de ces lieux. L

21 acte de Varsovie, ou de nations au sens ancien du mot , régions ou ethnies en révolte plus ou moins ouverte contre le contra

22 nçais cultivé qui demande à son Littré le sens du mot fédéralisme trouve ceci : « Fédéralisme : substantif masculin. Néolog

23 porter à son Littré quand il veut savoir ce qu’un mot signifie, la cause est jugée. Il s’agit d’un système qui est bon pour

24 variés et les moins politiques au sens étroit du mot . ⁂ Tout d’abord, trois définitions. Je propose d’appeler problème fé

25 responsabilités, solitaire et solidaire (selon le mot de Victor Hugo repris par Camus), distingué du troupeau par cette voc

26 au de la vie civique ou politique — c’est le même mot , selon l’étymologie — que nous allons enfin retrouver le problème cla

27 nnes douées d’humanité et de philanthropie, en un mot , si la préoccupation et l’étude de ce sujet si important devaient, en

28 nué d’amer et de vengeur esprit critique : pas un mot de reproche à quiconque dans ce livre ! On ne saurait être plus prude

29 mbée amoureuse de lui avant même qu’il ait dit un mot … » Y a-t-il des causes d’échec qui soient plus spécifiquement attaché

30 mier livre, publié à Paris en 1934… Est-ce que le mot et la chose « engagement » ont encore aujourd’hui une signification q

31 é personnelle et de l’action communautaire. Le mot fédéralisme est toujours mal compris Vous savez sans doute que le

32 ie générale du fédéralisme, où je constate que le mot fédéralisme est toujours mal compris. Et c’est presque fatal, parce q

33 mpris. Et c’est presque fatal, parce que c’est un mot qui joint deux réalités contradictoires : la réalité des autonomies l