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avec leurs voisins, de s’ouvrir aux échanges. Ce
nationalisme
local, ce chauvinisme cantonal (on l’appelle chez nous Kantönligeist)
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e absolutiste, et reprise par le xixe siècle des
nationalismes
. Il faudrait voir, d’une part, dans quelle mesure cette notion est co
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cle) et, plus tard, au xixe siècle, nationalité,
nationalisme
, puis, avec Nietzsche, supranationalité, enfin fédération, confédérat
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avec leurs voisins, de s’ouvrir aux échanges. Ce
nationalisme
local relève de la même mentalité que le totalitarisme à l’échelle na
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ie des contradictions » ; et il pratiquerait le «
nationalisme
culturel » au nom d’un « anticommunisme de type maccarthyste ». Si vo
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5. La résistance des esprits « de droite », des
nationalismes
attardés, des patriotismes ombrageux, des libéraux doctrinaires en ma
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technique comme instrument. C’est l’explosion des
nationalismes
en 1914 qui a déclenché la Première Guerre mondiale, et non pas la mi
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n tout et non plus comme un concert discordant de
nationalismes
séniles. Sur la question de savoir si la technique favorise ou tend à
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: ein Volk, ein Reich, ein Führer, devises de ces
nationalismes
qui ont risqué de faire de l’Europe au xx e siècle un fouillis d’auta
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rises de position pour la plupart négatives et le
nationalisme
plus ou moins avoué qui les inspire : les nazis vont apprendre au mon
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rnie par les deux guerres mondiales, résultant du
nationalisme
et de l’État totalitaire, — par le besoin d’union au-delà des nations
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’est plus guère le christianisme, ce sera donc le
nationalisme
, le culte de la patrie étatisée, seul Absolu auquel tout s’ordonne, e
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e guerres récentes, de cent ans de propagande des
nationalismes
, et de cette religion civique dont je vous disais qu’elle s’était sub
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loppement scientifico-technique mis au service du
nationalisme
. Tels sont les procédés nés de la Révolution, qui ont permis à l’État
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ue, elle deviendrait un véritable bienfait… » Le
Nationalisme
et le colonialisme : il pousse les nations de l’Europe à envahir des
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retentissante des systèmes centralisateurs et du
nationalisme
étatisé. C’est la guerre la plus antisuisse de l’histoire. Maintenant