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ous pour un », c’est moins un idéal qu’une vitale
obligation
de solidarité pratique. Quand un Suisse entreprend de créer quelque c
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s sur nos transports, notamment. Je me vis dans l’
obligation
un peu gênante de rappeler que le premier passage à la frontière fran
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us large du terme, Suisse par le passeport et les
obligations
militaires, habitant au surplus près de Genève, où je dirige un insti
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exode. Simplement, la Suisse prend sa part de ses
obligations
internationales ; car après tout, elle fait partie, elle aussi, de la