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e subissais l’entraînement intensif d’une école d’
officiers
; et comme un chagrin très amer m’occupait entièrement le cœur, je tr
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s casernes, une indépendance d’esprit qui chez un
officier
plus jeune n’eût pas manqué d’être taxée d’insolence ou d’humeur subv
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lpes, en trente-trois heures. Pour la plupart des
officiers
et des élèves de l’école, la perspective de la « grande course » étai