1
ier que la santé d’un corps exige le souple jeu d’
organes
bien différenciés ; et les autres sont tentés d’oublier qu’un organe
2
nciés ; et les autres sont tentés d’oublier qu’un
organe
bien différencié ne saurait vivre isolé du corps. Quelle serait alors
3
ent que la santé d’un corps exige le souple jeu d’
organes
bien différenciés ; les autres oublient qu’un organe bien différencié
4
nes bien différenciés ; les autres oublient qu’un
organe
bien différencié ne saurait vivre isolé du corps. Quelle serait alors
5
fonction propre, irremplaçable, comme celle d’un
organe
dans un corps. Or, la vie normale du corps dépend de la vitalité de c
6
e du corps dépend de la vitalité de chacun de ses
organes
, de même que la vie d’un organe dépend de son harmonie avec tous les
7
de chacun de ses organes, de même que la vie d’un
organe
dépend de son harmonie avec tous les autres. Si les nations de l’Euro
8
oirs fédéraux et les États, entre le corps et les
organes
. Le problème le plus épineux est celui de la souveraineté : faut-il e
9
ément l’art de composer en un ensemble vivant des
organes
bien différenciés et dont chacun exerce une fonction unique, incompar
10
le gouvernement d’après la loi de séparation des
organes
; — je veux dire : séparer dans le pouvoir tout ce qui peut être sépa
11
ir tout ce qui peut être défini, distribuer entre
organes
ou fonctionnaires différents tout ce qui aura été séparé et défini ;
12
enir des visées politiques, ou laisser cela à des
organes
diversifiés fédérant des régions politiques, ou ethniques, ou culture