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s travaux intéressants, auront la possibilité d’y
participer
. Voilà donc le programme initial de notre petit Institut. Moyens mode
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r la culture en mendiante, de refuser de la faire
participer
à une prospérité économique sans précédent. Nos raisons d’être et de
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nant dans une guerre ou une ruine générales : ils
participent
tous également au droit de déterminer leur destin, sur ce plan aussi.
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e en partie fictive. La Suisse doit donc tendre à
participer
« sans réserve et de plein droit » à l’édification de l’Europe unie.
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ffres ne suffisent pas à justifier notre refus de
participer
au Marché commun, et encore moins notre participation à l’AELE ! La S
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de chacun de nos cantons gardent le privilège de
participer
de plein droit à des ensembles bien plus vastes que la Suisse : cultu
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uper leurs authentiques forces locales pour mieux
participer
aux grands courants du monde et s’en nourrir, au lieu de s’y laisser
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té, d’y échanger des propos et des produits et de
participer
à son gouvernement, le désir d’être citoyen pousse à construire la vi
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ls de la cité, dans l’apprentissage des moyens de
participer
à la vie de la cité, et dans l’éveil du désir d’y tenir son rôle de c
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ssion, souvent violente, à laquelle tout le monde
participait
sur le même plan — simplement le professeur, ayant plus d’expérience,
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y exercer normalement leurs devoirs civiques, et
participer
effectivement à la vie de la cité ; donc trop grands pour être encore
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e incomparable et autonome à laquelle on voudrait
participer
: voilà la plus profonde tendresse. Le passionné cherche son « type d
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a, alors, 26 ans. Il habite Paris. C’est là qu’il
participera
à la naissance de trois revues : L’Ordre nouveau , au côté d’Arnaud
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a naissance du personnalisme à laquelle il devait
participer
. C’était la réponse à « la spoliation de l’identité profonde de l’hom
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rop grand parce que la vraie cité où l’homme peut
participer
à la vie publique, c’est quelque chose de beaucoup plus petit. En d’a