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urraient permettre d’opérer un jour ou l’autre ce
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de l’économique au politique. Ni cette déclaration, ni le traité lui-
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nt, sans qu’aucun contenu ne puisse être saisi au
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; certains d’entre eux ridiculisent carrément le terme. Ainsi, le dic
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est née de coopératives forestières exploitant le
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du Gothard, « Un pour tous, tous pour un », c’est moins un idéal qu’u
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-à-dire des personnes fédérées.2 On voit que le
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de la personne au fédéralisme s’opère tout naturellement, et presque
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des pouvoirs de sujets qu’elle abdique… ⁂ IV.
Passage
des buts aux moyens Quels sont alors les buts que l’homme européen
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e, 1864). Proudhon s’est peut-être souvenu de son
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à Neuchâtel (où il fut un temps typographe) en écrivant son grand liv
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igation un peu gênante de rappeler que le premier
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à la frontière franco-allemande d’un train de charbon libre de droits
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à la Communauté politique ». Il marquait ainsi le
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de l’Idée à l’Action européennes, en continuité historique, et il ina
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n petit groupe formé de deux touristes anglais de
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, d’un vieil officier de marine, d’un abbé italien, d’un journaliste d
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me ni fatale est nettement impliquée dans ce même
passage
: Certains, comme J. de Maistre, ont nommé la guerre « divine » ; d’