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nienne, n’est en fait et comme telle défendue par
personne
, et n’offre pas un champ d’études utiles, car chacun voit que l’unifi
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lus en plus incompatibles avec les libertés de la
personne
… Bornons là cette esquisse caractérologique des faiseurs d’utopies et
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e débat créateur, le dialogue permanent, c’est la
personne
. Voilà donc définis trois types humains, qui favorisent trois types
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ime totalitaire. Enfin, à l’homme considéré comme
personne
, à la fois libre et engagé, et vivant dans la tension entre l’autonom
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araît indispensable, il ne faut pas penser que la
personne
soit un moyen terme ou un juste milieu entre l’individu sans responsa
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ilité et le soldat politique sans liberté. Car la
personne
, c’est l’homme réel, et les deux autres ne sont que des déviations mo
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rbides, des démissions de l’humanité complète. La
personne
n’est pas à mi-chemin entre la peste et le choléra, elle représente l
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roupes de citoyens responsables, c’est-à-dire des
personnes
fédérées.2 On voit que le passage de la personne au fédéralisme s’o
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rsonnes fédérées.2 On voit que le passage de la
personne
au fédéralisme s’opère tout naturellement, et presque irrésistiblemen
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ntagonistes qui trouvent leur composition dans la
personne
sont homologues de ceux qui trouvent leur composition dans le fédéral
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eraient ainsi dans plusieurs de ses dimensions la
personne
même de ceux qui s’y rattachent. Certes, il est plus facile de décrét
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on se forme de proche en proche, par le moyen des
personnes
et des groupes, et non point à partir d’un centre ou par le moyen des
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essions qui s’organisent. Et surtout, ce sont des
personnes
, des groupes, des écoles, qui créent peu à peu des réseaux variés d’é
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du monde, mais peut être l’œuvre de groupes et de
personnes
qui ont pris l’initiative de se fédérer en dehors des gouvernements n
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». En effet, « un pour tous » signifie l’élan des
personnes
et des régions vers l’union, tandis que « tous pour un » signifie l’a
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l’union doit apporter à chaque région et à chaque
personne
. Il est infiniment probable que, sur le plan européen, nous allons v
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isation croissante des activités inventées par la
personne
et assimilées par la communauté. À chaque conquête nouvelle effectué
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haut que ce sont, à la racine, les maladies de la
personne
elle-même. Car la personne sera toujours tentée soit de céder à la pe
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ne, les maladies de la personne elle-même. Car la
personne
sera toujours tentée soit de céder à la pesanteur naturelle, aux rout
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rt, résultent d’une seule et même démission de la
personne
devant sa liberté et devant sa responsabilité. Mais la personne démis
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t sa liberté et devant sa responsabilité. Mais la
personne
démissionnaire accuse les mécanismes, ces objets, et les doue des pou
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onomie (liberté et responsabilité) croissante des
personnes
, des groupes, des communes, des régions, et finalement de l’Europe en
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à l’intérieur du continent les services libérant
personnes
et groupes des tâches mécanisables ; b) de manifester à l’échelle mon
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nomie et Union, Buts et Moyens, philosophie de la
personne
et technique d’organisation qui la traduise. En bonne méthode personn
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y perdant à chaque guichet, sans rien déclarer à
personne
. Des milliards d’heures de vie active ou de loisirs sont ainsi gagnée
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fédérale de justice, dépositaire du Statut de la
Personne
. Pour devenir citoyen de l’Europe, il faut et il suffit que l’on devi
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titution fédérale et à la Charte des droits de la
personne
. (Les libertés de culte, d’expression et d’association sont expressém
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ution porterait atteinte au droit fondamental des
personnes
à se grouper en communautés diversifiées : droit à l’autonomie ; tand
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grand nombre de résolutions impératives mais dont
personne
ne semble tenir compte, exigent que les États renoncent expressément
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une nuit du 4 août des États : ce ne sont pas des
personnes
libres et responsables, et il est tout à fait inconcevable qu’ils pui
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a Justice préside une Commission des droits de la
personne
, celui de l’Intérieur une Commission des régions et des États, etc. L
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des réclamations pour violation des droits de la
personne
garantis par une Charte ou Statut de la personne, annexée à la Consti
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personne garantis par une Charte ou Statut de la
personne
, annexée à la Constitution ; des cas de trahison ou de révolte concer
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fédérales européennes. La Suisse, qui n’inquiète
personne
, se trouve ainsi confirmée dans son statut traditionnel de neutralité
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nces de succès de cette réaction de défense de la
personne
, on peut tenir pour certain qu’elle jouera, elle aussi — si peu que c
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de départ la définition de l’homo europaeus comme
personne
à la fois libre et responsable. L’autre découle de la conjoncture pré
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emploient. Qui veut la fin veut les moyens, mais
personne
ne saurait vouloir une fin qu’il distingue mal. Et c’est pourquoi, da
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expansion de notre économie a dû passer de 90 000
personnes
en 1950 a plus de 800 000 en 1963. Que peuvent bien signifier, dans u
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ble » serait une catastrophe pour la Suisse. Mais
personne
ne la préconise, en réalité. Il est clair, en revanche, qu’une Europe
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dans la Suisse moderne, un crime de lèse-majesté.
Personne
n’ose donc crier trop fort, et c’est peut-être mieux ainsi. Mais notr
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u sur l’imagination : malheur de tous, malheur de
personne
en particulier. Je n’ai pu observer la peur de la menace atomique qu’
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e : harmonie entre l’homme et la Nature, entre la
personne
et la communauté, entre les communautés nationales, et enfin, entre l
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as nées pour satisfaire des besoins matériels que
personne
n’éprouvait avant elles, mais c’est généralement l’inverse qui s’est
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s c’est généralement l’inverse qui s’est produit.
Personne
n’avait besoin d’autos quand il n’y en avait pas encore — à part quel
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e ne sais quelle ferveur sentimentale — oh ! non.
Personne
n’a jamais exigé que les Thurgoviens et les Vaudois ou les Grisons ro
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celle de la pluralité des allégeances soit d’une
personne
, soit d’un groupe ou d’une région. Au lieu que l’État-nation voulait
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udrais évoquer ici qu’un incident de couloir dont
personne
n’a parlé, et dont je fus alors le seul à ressentir, non sans colère
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st-ce bien ainsi ? n’est-ce que cela ? n’y a-t-il
Personne
? Ces grands buissons, ces murets de pierre sèche, ces sentiers de tr
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et une du Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, et la
personne
à la fois une et double de Jésus-Christ. Et ils écrivent : « Nous ens
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chaque nature, qui se rencontrent dans une seule
personne
… » Abstraction faite de la foi que l’on accorde ou non à la substance
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bipolaire posé par le concile de Chalcédoine. La
personne
humaine, notion déduite des dogmes relatifs aux trois Personnes divin
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ine, notion déduite des dogmes relatifs aux trois
Personnes
divines, et surtout à la deuxième, va nous servir de module. La perso
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rtout à la deuxième, va nous servir de module. La
personne
humaine, c’est l’homme considéré dans sa double réalité d’individu di
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s contradictoires de la vie, comme la liberté des
personnes
et la force de la communauté ? L’analyse fédéraliste d’une situation
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re… et si elles pouvaient attirer l’attention des
personnes
douées d’humanité et de philanthropie, en un mot, si la préoccupation
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assin, au gangster et au fou ! Voyez Hitler. Mais
personne
ne m’a démontré qu’entre les ambitions de Napoléon et celles d’un dic
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e qu’on sait ce qu’on veut et qu’on n’a besoin de
personne
. Moins on est sûr de la durée de ses sentiments, plus on s’entête et
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nts. Ce sera, au fil des ans, Doctrine fabuleuse,
Personne
du drame [sic] et Les Mythes de l’amour. C’est donc l’illustre théori
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conciles du ive au vie siècle qui ont défini la
personne
à propos des personnes de la Trinité. Le concile de Chalcédoine dit,
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e siècle qui ont défini la personne à propos des
personnes
de la Trinité. Le concile de Chalcédoine dit, en substance, que les d
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malheureusement assez mal connu, Politique de la
personne
. On peut y lire, en effet, un article qui avait déjà paru dans la re
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quer M. de Rougemont, « la seule définition de la
personne
qui ait jamais paru dans ces revues personnalistes ». Cet article, «
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personnalistes ». Cet article, « Définition de la
personne
», dont M. de Rougemont me montre le manuscrit portant les indication
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de meilleur interlocuteur pour nous définir la «
personne
», telle que l’entendent naturellement les personnalistes. Pour moi,
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ent les personnalistes. Pour moi, nous dit-il, la
personne
n’est ni un individu refermé sur lui-même, ni la minuscule partie d’u
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s conclusions pour la cité de ce qu’il appelle la
personne
, puisque celle-ci est définie par son acte. Ainsi se trouve fondée un
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ndement n’est absolument pas la dialectique de la
personne
, mais uniquement les questions de rendement industriel, ou de rentabi
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auté nouvelle dont tout le monde aspire, mais que
personne
n’ose construire, M. de Rougemont s’est employé à la définir et à en
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r comment il était passé de sa définition de la «
personne
» au fédéralisme. Je vous avais dit que l’homme doit être à la fois l
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ent absolument normal et logique — inévitable. La
personne
, c’est l’individu à la fois libre et responsable. Libre dans la mesur
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e plus intimement, c’est-à-dire l’être même de la
personne
— qui est actualité, agir. Alors je trouve dans ma définition de la p
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é, agir. Alors je trouve dans ma définition de la
personne
comme être libre et responsable à la fois le fondement de la liberté
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erté et à la libération maximales des hommes, des
personnes
. Je suis contre l’État-nation dans sa formule xixe siècle, qui ne vi