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rable d’un discours même de pure circonstance. Sa
phrase
finale au congrès de la culture (Lausanne, 1949) fait le lendemain l’
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me et le progrès social », où je lis ces quelques
phrases
: Nous proclamons la nécessité de la Révolution fédéraliste et progr
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séance finale, parce qu’il contenait cette petite
phrase
: « Nous voulons une défense commune », que le congrès n’avait pas di
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’ils s’opposeraient à mon Message à cause de la
phrase
sur la défense. Par chance, un journaliste, qui était en train de m’i
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e lirais le Message , mais en omettant la petite
phrase
. Ainsi fut fait une demi-heure plus tard. L’acclamation fut unanime,
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en de signer un document où l’on aurait barré une
phrase
aussi voyante, et qui d’ailleurs semblait s’être volatilisé au secrét
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Il est permis de lire bien des choses dans ces
phrases
. Elles décrivent la métamorphose des éléments : le feu solaire qui as
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Du Principe fédératif, où l’on pouvait lire cette
phrase
devenue célèbre : « Le xxe siècle ouvrira l’ère des fédérations, ou
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tratifs, Mirabeau répondait déjà par cette grande
phrase
: « Le but de la société n’est pas que l’administration soit facile,
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teint mon but. Toute sa proposition tient en une
phrase
, au surplus interrogative : N’y aurait-il pas moyen de constituer de
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dans son livre, il se borne à écrire cette seule
phrase
qui est sans doute l’une des plus saugrenues de l’histoire : Simple
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à ce que fait croire le langage courant, avec des
phrases
comme « Je suis pleine de complexes » ou « Il me donne un complexe d’
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à la difficulté de la situation elle tient en une
phrase
ou un fait évident et qui sera ressenti plus ou moins douloureusement