1 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
1 enève, qu’il dirige encore aujourd’hui. Dès 1951, président du comité exécutif du Congrès pour la liberté de la culture. Auteur d
2 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
2 t choisir plus d’un membre dans le même pays. Son président est élu par l’Assemblée. Il porte le titre de président de la fédérat
3 ent est élu par l’Assemblée. Il porte le titre de président de la fédération d’Europe. Le Conseil fédéral est assisté de commissi
4 vaient pas le droit de vote lors de l’élection du président )9 préviennent toute ingérence particulière des affaires suisses dans
3 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
5 es à tout prix — serait « illusoire » (F. Wahlen, président de la Confédération, février 1961). « La situation internationale act
4 1966, Articles divers (1963-1969). Un libéral engagé (1966)
6 urope à Bruges), on ne s’ennuie pas, parce que le président nous donne l’impression qu’il s’amuse. Il y a là, d’ordinaire, Étienn
7 un désintéressement aussi total que notre premier président du Centre européen de la culture. ⁂ Mais avant d’être Européen, et ap
8 culture, dont Salvador de Madariaga est l’un des présidents d’honneur. Il a fait ce jour-là l’un de ses plus beaux discours, sur
5 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
9 cédente, et c’est le plus proche collaborateur du président du Conseil, Alexis Léger, qui a rédigé ce document historique, préfig
10 lités participantes : professeurs et industriels, présidents de chambres de commerce et directeurs de festivals, députés et préfet
6 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
11 lités participantes : professeurs et industriels, présidents de chambres de commerce, députés et préfets, éditeurs et animateurs s
7 1969, Articles divers (1963-1969). Toujours disponible (1969)
12 marchant : Hans Oprecht n’était pas pour nous le président du Parti socialiste, mais avant tout le directeur de la Büchergilde G