1
t insoluble. D’une part nos grands États prennent
prétexte
de leur souveraineté théorique pour refuser les plans d’union concrèt
2
onales absolues, tout juste capables de servir de
prétextes
pour retarder encore les mesures d’union ; enfin, nécessité urgente d
3
stifier ce refus par des motifs juridiques et des
prétextes
tirés de la « démocratie directe », mais uniquement par des motifs po
4
rtaine, au nom d’une prudence aveugle, et sous le
prétexte
d’une « indépendance » dont notre peuple n’est pas disposé plus qu’un
5
qui est d’un seul tenant quant au sous-sol, sous
prétexte
qu’à la surface les gens parlaient allemand d’un côté, français de l’
6
ent tarifaire, ou au contraire, elle leur sert de
prétexte
à refuser encore, ici ou là, les mesures nécessaires d’union. Pourtan
7
qui est d’un seul tenant quant au sous-sol, sous
prétexte
qu’à la surface les gens parlaient allemand d’un côté, français de l’
8
oits de douane, ou au contraire elle leur sert de
prétextes
à refuser, ici ou là, les mesures nécessaires à l’union. Mais elle ne
9
opositions d’union un peu hardies, sous le double
prétexte
« qu’on n’est pas sûr qu’elles réussiront », ou bien « qu’on n’est pa
10
refus gaulliens. Demain, ils trouveront d’autres
prétextes
.) Trop petits et trop grands à la fois 39 — trop petits pour assurer
11
acrer s’ils résistent, « toujours en alléguant un
prétexte
dérisoire, celui de châtier leur insolence… C’est sans remords que le
12
ire moderne, ce sont les guerres qui ont servi de
prétexte
à ces concentrations forcées, c’est leur préparation, leur conduite e
13
che vers lui-même que l’on choisit, non pas comme
prétexte
à s’exalter ou comme objet de contemplation, mais comme une existence