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tatent, évidemment, « qu’elles ne sont pas encore
prêtes
à s’unir ». Or, il est clair — il devrait être clair — qu’en tant qu’
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qu’États souverains les nations ne seront jamais
prêtes
à s’unir ! Il appartient à leur être même d’État, à leur définition m
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e et dont les mythes disposent, si peu que l’on y
prête
de sensibilité. Pas question de s’y préparer ni de rien combiner à l’
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je ne vois pas de terme du langage politique qui
prête
à pires malentendus ! Un Français cultivé qui demande à son Littré le
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habitudes critiques : cette phraséologie d’époque
prête
à sourire, mais elle a fait pleurer, elle nous émeut encore, et surto
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sera employé à son service… Les combattants sont
prêts
pour de nouveaux combats, résolus à y engager le reste de l’Europe av