1 que j’avais à vous dire aujourd’hui se résume en propositions d’une extrême simplicité. La technique est un instrument qui ne saura

2 sont requis de se prononcer publiquement sur une proposition d’union. La montée de Hitler au pouvoir fait oublier leurs prises de

3 la mise en place d’exécutifs régionaux, — toutes propositions qui étaient proprement impensables pour un esprit français il y a dix

4 d’opposer un refus quasi automatique à toutes les propositions d’union un peu hardies, sous le double prétexte « qu’on n’est pas sûr

5 t obligé de quitter le comité si l’on adoptait ma proposition . Je compris par la suite que ce haut fonctionnaire tenait le fédérali

6 seul permettre le fédéralisme. Je retournerai la proposition et dirai que, s’il y a un sens civique en Suisse, c’est dû précisémen

7 s, j’aurais pleinement atteint mon but. Toute sa proposition tient en une phrase, au surplus interrogative : N’y aurait-il pas mo

8 , croit, sans la moindre discussion, une série de propositions axiomatiques de ce genre : — L’État doit être unique et indivisible.

9 e la science constitutionnelle », je trouve cette proposition  : Organiser en chaque État fédéré le gouvernement d’après la loi de