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rieure ; ni d’assurer à lui seul sa défense et sa
prospérité
économique ; ni de poursuivre une politique étrangère autonome. Que d
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ix à leur guise, assurer seuls leur défense, leur
prospérité
, leurs libertés collectives ou individuelles. Il faudrait examiner ob
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endiante, de refuser de la faire participer à une
prospérité
économique sans précédent. Nos raisons d’être et de rester Suisses ne
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nom de ce principe, pour rappeler que la paix, la
prospérité
et les libertés de l’Europe ne seront rétablies que par cette union-l
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trop petits pour assurer seuls leur défense, leur
prospérité
économique, et pour jouer un rôle à l’échelle mondiale ; trop grands
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ce des desseins politiques d’un État et non de la
prospérité
de ses citoyens. Aujourd’hui, cette même réduction correspond à la se