1 le dépasse largement les limites de la confession protestante . ⁂ Mais s’il reste vrai que la Suisse n’est pas une nation comme les

2 le chez un Balzac et un Stendhal. Ces traits sont protestants , peut-être. Mais le goût de la mesure, de l’intériorité, du réalisme

3 la guerre civile de 1847 opposant catholiques et protestants (le Sonderbund ou « Alliance séparée » des catholiques, assez analogu

4 eux les déclarations réitérées du Vatican, et les protestants qui ont gardé vivante la tradition calvinienne, ne peuvent, en bonne

5 historiquement autonome, mais rattaché à la masse protestante et alémanique du canton de Berne. Un mouvement séparatiste s’y manife

6 x qui se ressemblent : l’un catholique et l’autre protestant  ; l’un qui est une ville moderne, l’autre une vallée des Alpes ; ici

7 uerre civile opposant les cantons catholiques aux protestants . L’année suivante, une constitution fédérale fut rédigée, votée, et m

8 l de leurs membres. On n’est plus obligatoirement protestant parce qu’on est né à Genève ou dans le canton de Berne, ni catholique

9 onc mon allégeance culturelle. Mais je suis aussi protestant , ce qui représente une allégeance mondiale (ce serait pareil si j’éta

10 des écrivains, des philosophes et des théologiens protestants . Mais, 1932 marque aussi la naissance du personnalisme à laquelle il